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ouè
enfin c'est pas en crachant dessus que ça va marcher non plus :/

Exact

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Bourdais passe la seconde

Après une première saison mi-figue mi-raisin, puis de longs mois d'attente cet hiver avant de n'être confirmé que début février chez Toro Rosso, Sébastien Bourdais est impatient d'attaquer la saison 2009 le week-end prochain en Australie. Principal bénéficiaire de la crise économique, le Français veut prouver cette année qu'il a définitivement sa place en F1.

Sébastien Bourdais est attendu pour sa deuxième saison en F1. (Reuters) "Le passé est le passé." Et Sébastien Bourdais l'a trop longtemps ressassé pour ne pas éprouver une solide aversion à de nouveau l'évoquer. "C'était une sale situation, accentuée par l'incertitude économique", consent tout juste à lâcher lundi dans un entretien accordé au quotidien Libération celui qui pendant un hiver "long et difficile" a attendu d'être reconduit au sein de l'écurie Toro Rosso. "Sans les mesures imposées par la FIA pour réduire les budgets, mes chances de rester en F1 étaient plus que minces", ajoute-il, lui qui sans la crise économique aurait certainement perdu son volant...

Puisque l'argent n'était plus une obsession, voire une obligation, pour Dietrich Mateschitz (le patron autrichien de Red Bull qui finance deux écuries : Red Bull Racing et Toro Rosso, ndlr), l'expérience aura finalement pesé en faveur du Manceau, lequel était un temps en balance avec le Japonais Takuma Sato avant d'être officiellement confirmé le 6 février dernier. "Il connaît maintenant le monde de la Formule 1, les circuits et l'équipe", expliquait ainsi Franz Tost, le patron de la petite écurie italienne, l'un des seuls soutiens de Bourdais. "Par ailleurs, les pneus slicks, qui font leur retour cette année, devraient bien correspondre à son style de pilotage."

Après une saison d'apprentissage, souvent difficile, voilà donc le Français embarqué dans sa seconde saison de F1 dont le coup d'envoi sera donné le week-end prochain à Melbourne où il avait signé l'année dernière son meilleur résultat (7e comme en Belgique). L'Australie ou la première étape qui doit le conduire vers de nouvelles ambitions. "L'idée, c'est de faire mieux qu'en 2008, donc de marquer au moins 40 points, avoue-t-il. A moi d'en mettre une grosse vingtaine, car je n'aurai plus l'excuse du débutant. Si mon bilan perso est le même qu'en 2008 (quatre points, ndlr), il y a des risques que l'aventure s'arrête là."

Son principal adversaire ? Buemi...

Invité par Franz Tost à accompagner l'éclosion de Sebastien Buemi, pur produit de la filière Red Bull et remplaçant désigné de Sebastian Vettel, parti exercé ses talents au sein de l'écurie grande soeur, Bourdais fait figure de n°1 chez Toro Rosso. Un statut que réfute le seul pilote français du paddock. "Le numéro 1, c'est celui qui qualifie le mieux la voiture et qui va donc disposer de la meilleure stratégie pour essayer de la classer le mieux possible à l'arrivée", explique-t-il.

Plus que Ferrari, McLaren, Renault ou BMW, le Suisse sera donc le principal adversaire cette saison du Français pour qui la compétition en Formule 1 "se résume (...) à battre son propre coéquipier, qui est l'unique valeur de référence puisqu'il dispose de la même voiture. Une fois au niveau ou dans les mêmes temps que son coéquipier, on peut considérer que le boulot est OK."

Régulièrement devancé par Vettel l'année dernière après l'arrivée de la STR3, une voiture contre laquelle le Français s'est battu au lieu de tenter de l'apprivoiser, le quadruple champion du monde de ChampCar veut saisir sa chance. "Je suis bien, je ne plonge pas dans l'inconnu, même si je regrette de ne pas connaître ma nouvelle monoplace faute d'avoir pu rouler suffisamment en essais libres", conclut-il. Une STR4 découverte début mars avec laquelle Bourdais se jaugera dès vendredi à l'occasion des essais libres du Grand Prix d'Australie.

Hum... il semble motivé le Manceau

Marquer 40 pts pour Toro Rosso ... il est fou je crois.
La voiture est sorti tardivement, se traine en queue de peloton aux essais libres, a perdu son moteur avec Vettel ...
De plus, arriveront ils à réitérer l'exploit de l'an passé, à savoir faire progresser énormément la voiture dans la hiérarchie ? je n'en suis pas si sûr ...

vino_93 a écrit:

Marquer 40 pts pour Toro Rosso ... il est fou je crois.
La voiture est sorti tardivement, se traine en queue de peloton aux essais libres, a perdu son moteur avec Vettel ...
De plus, arriveront ils à réitérer l'exploit de l'an passé, à savoir faire progresser énormément la voiture dans la hiérarchie ? je n'en suis pas si sûr ...

Il veut en marquer une vingtaine et faire en sorte que l'équipe en marque 40 . Maintenant au niveau de la voiture sorti tardivement ça na pas vraiment beaucoup d'importance en vous rappelant que c'est Adrian Newey qui la déssiné . Enfin bon, attendons de voir les premiers tours de roues à Melbourne pour se faire un déssin

oui mais bon ... je crois qu'il rêve. Marquer 40 pts pour Toro Rosso me semble du domaine de l'irréalisable cette année.
Et pour Newey, il en a juste fait l'aspect extérieur. Tout l'intérieur a été fait par les structures Toro Rosso. D'abord puisque le moteur est un Ferrari, et non un Renault. Et puis ensuite eux mêmes, puisque l'écurie est appelée à être vendue sous peu, donc ils souhaitent emmagasiner de l'expérience dans ce domaine.

Ne vendons pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué . Mais on sait qu'avec Bourdais tout est possible...

surtout le pire
ok je me tais

Rooh tu ne peut pas t'en empêcher ne m'oblige pas à te mettre un scotch sur la bouche

j'ai promis de tenir jusqu'à melbourne, j'ai réussit On va dire que pour moins de 24 heures hein

Non tenir apres le GP seulement

ah non
Sinon comment je fais pr raler pendant la course ?

Bah tu peut raler si tu veut mais silencieusement

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Domenicali : "C’est inacceptable !"

Dernière du championnat du monde des Constructeurs – derrière Force India avec laquelle elle partage le triste record de 0 point – la Scuderia Ferrari n’avait pas pris un aussi mauvais départ depuis 1992 – plus d’un an avant l’arrivée de Jean Todt à la tête de la Gestione Sportiva. Jean Alesi et Ivan Capelli avait terminé l’exercice à de médiocres 7è et 13è places, avec un maigre butin de 18 et 3 points.



17 ans plus tard, Ferrari vit à nouveau des heures noires. Les casses mécaniques de Melbourne auraient pu passer dans les pertes et profits si le cheval cabré avait redressé la tête en Malaisie. Las, à Sepang la Rossa a accumulé les erreurs, parfois graves à ce niveau de compétition : se faire exclure des Q1 par arrogance, détruire la course de Räikkönen en lui proposant le défi unique de rouler en pneus Pluie sur une piste sèche !



Le patron de la Gestione Sportiva, Stefano Domenicali, ne cache pas son courroux et admet que la situation est inacceptable. « C’est le 2è week-end raté d’affilée et il est sûr que ça n’a rien de positif. Nous devons réagir immédiatement. Les gens doivent prendre leurs responsabilités et le point de vue du management est que ça ne va pas bien. C’est inacceptable et je ne l’accepterai pas. Ce que nous devons faire c’est d’un côté travailler d’arrache-pied pour essayer d’anticiper les évènements, tous les développements de l’auto. De l’autre côté, sur la piste, nous devons nous assurer que les gens qui ont certaines responsabilités prennent les bonnes décisions car on ne plus accepter ça à l’avenir. »



Le redressement de l’écurie qui a collectionné 8 titres Constructeurs ces 10 dernières années ne passeront pas que par un coup d’arrêt aux bévues. La F60 souffre d’un manque de compétitivité par rapport à 4 écuries : Brawn GP, Toyota, Williams et Red Bull Racing. L’écart qui la sépare des 3 premières pourrait être comblé par la greffe d’un diffuseur double couplé à la crash box, un projet que Ferrari a initié en prévision d’un adoubement de l’appendice par la FIA, le 14 Avril. « Nous devons considérer deux choses. D’un point de vue de la performance, nous devons nous assurer que nous sommes capables de ramener un bon résultat de la Chine. Nous savons que c’est dans le domaine de l’aérodynamique que la différence se fait. Nous devons trouver plus d’appuis. C’est le centre névralgique de la voiture. L’autre aspect de la performance est que nous devons comprendre pourquoi notre voiture est très compétitive le Vendredi avec beaucoup de carburant et des pneus tendres, alors qu’avec les autres pneus c’était très compliqué. »

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Mercedes changera-t-elle la direction de McLaren ?

L’affaire du mensonge du Grand-Prix d’Australie – qui a trouvé une conclusion douloureuse dans le paddock de Sepang avec la rétrogradation d’Hamilton à Melbourne et une menace de sanction exemplaire qui pourrait être prise le 14 Avril prochain lors de la tenue du Tribunal d’Appel de la FIA – a eu des prolongements immédiats sur la gestion de l’écurie McLaren Mercedes. Dave Ryan, directeur sportif de l’équipe depuis 1974 a servi de fusible et a laissé son perchoir vacant sur le muret des stands, dès le Vendredi après-midi.



Beaucoup pensent que Mercedes ne devrait pas en rester là et devrait saisir l’occasion de placer ses hommes à la direction de l’écurie. Le timing ne pouvait pas être meilleur : Ron Dennis, patron historique et emblématique a transmis le témoin à Martin Whitmarsh, un directeur général particulièrement décrié dans le paddock et qui a contre lui 1) Les formidables contreperformances de son écurie en 2009, 2) Un flagrant délit de mensonge qui jette l’opprobre sur toute l’entreprise, deux ans à peine après l’affaire de l’espionnage industriel.



A Sepang, penaud et ayant le sentiment qu’il devait à tous la vérité crue, Whitmarsh n’a pas manié la langue de bois et n’a pas eu de discours d’entreprise. Au point d’avouer qu’il ne savait pas si sa carrière à la direction de l’écurie de Woking était menacée. « Ce serait faux de prétendre que je n’y ai pas pensé [à mon avenir] car c’est dans ces moments que vous réfléchissez au pourquoi de votre implication dans le sport, et ce n’était certainement pas pour ce genre d’affaire. Vous pensez également à ce qui serait le mieux pour l’entreprise et pour cette fantastique équipe » a expliqué Martin Whitmarsh ce week-end en répondant au feu nourri des questions de la presse Britannique qui n’a pas manqué de tomber à bras raccourcis sur l’écurie elle adulait il y a 4 mois pour avoir été la plateforme du 1er titre d’un pilote Britannique depuis plus de 12 ans.

« Sur le long terme, je peux penser à mon avenir. Mais je ne le déterminerai pas tout seul, il appartient aux actionnaires de cette équipe de se faire une opinion et de décider ce qui est le mieux. Il y a un représentant du plus gros actionnaire de l’équipe assis à mes côtés (ndlr : Norbert Haug, vice-président de Mercedes Motorsport) et je pense qu’au final ce sont ces gens qui décideront de ce qu’il se passera dans l’équipe, pas moi. Je ne démissionne pas ce week-end. Nous avons décidé d’analyser comment nous en sommes arrivés à cette situation et nous devons en tirer des leçons pour être plus forts à l’avenir. »



Etre plus fort obligeait-il l’écurie à limoger l’un de ses cadres ? Oui lorsque l’électrochoc est salutaire, non lorsqu’il lézarde l’édifice, ce qui semble être le cas chez McLaren, de l’aveu même de Whitmarsh qui ne fait pas mystère de la difficulté de se relever du départ de Dave Ryan. En pleine crise sportive, McLaren pouvait-elle se permettre de faire une crise existentielle ? Encore une fois, la gestion des évènements par Whitmarsh sera méticuleusement analysée par l’actionnaire principale de l’écurie, Mercedes. « La perte de Dave laisse un vide immense, il jouait un rôle central, soyons honnêtes, il dirigeait l’équipe. Plusieurs personnes étaient les grandes figures de l’écurie mais c’est Dave qui dirigeait l’équipe sur le terrain, il prenait les décisions. Le retirer du dispositif dans des circonstances très difficiles, prévoir de se rendre sur la prochaine course et de préparer l’avenir sans lui est un défi extrême […] Je pense avoir été très chanceux ; il y a eu des moments très douloureux pour moi pendant ce week-end, mais de manière étonnante il y a également eu un ou deux instants où votre foi dans l’être humain et dans l’équipe est restaurée. »



Les déboires de Whitmarsh dès sa prise de fonction posent le problème de sa légitimité à la direction de l’écurie. Technicien de formation, Martin n’est pas un gestionnaire dans l’âme. La fibre de la direction d’une entreprise ne se cultive pas à coup de sorties de piste. Chez Mercedes, où la culture de l’entreprise a toujours prévalu – et où les hautes instances sont des professionnels de la direction des affaires – le CV et les récents résultats de Whitmarsh feront tache.

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La FIA convoque McLaren le 29 Avril

La FIA a convoqué l’écurie McLaren Mercedes pour une comparution devant le Conseil Mondial du Sport Automobile, le 29 Avril à Paris. L’objet de la convocation est l’incident Truli/Hamilton de Melbourne et le grossier mensonge de McLaren qui s’en suivi et qui coûta au champion du monde la perte de ses points chèrement acquis en piste. Comme Automoto365.com vous le laissait entendre dès le Vendredi des essais du Grand-Prix de Malaisie, Dave Ryan a été licencié par l’écurie de Woking et la FIA se réserve le droit de prolonger le châtiment qui frappe McLaren Mercedes.



Dans sa nouvelle convocation, la FIA rappelle que McLaren Mercedes n’a pas respecté l’article 151c du Code Sportif International qui stipule que : Seront considérés comme infractions aux Règlements, en dehors des cas qui y sont prévus. Tout procédé frauduleux ou manœuvre déloyale de nature à nuire à la sincérité des compétitions ou aux intérêts du sport automobile.



McLaren Mercedes a pris acte de la convocation et a déclaré « Vouloir pleinement coopérer avec le Conseil Mondial et se félicite de l’opportunité de travailler avec la FIA dans l’intérêt de la F1 ». Une rhétorique que l’écurie Anglo-Allemande espérait avoir remisée dans les oubliettes de sa communication après le scandale d’espionnage industriel.



On notera que le communiqué officiel émane de McLaren seule, Mercedes se désolidarisant des agissements délictueux de son partenaire, comme dans le cas de l’espionnage industriel deux ans plus tôt.

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Pourquoi Ferrari peut réagir rapidement

La réunion de crise promettait d’être aussi longue que le bilan était rapidement dressé : 0 point en 2 courses, la Scuderia Ferrari n’avait pas fait pire depuis 1992. Réunis autour de Lucas di Montezemolo, les cadres de la Scuderia Ferrari ont expliqué, écouté et promis. A l’issue de deux heures et demie d’un brainstorming que le président du Cavalino Rampante espère salutaire, il s’est dit confiant de voir l’armée rouge déplacer ses lignes et avancer vers l’ennemi, avec respect et sans arrogance comme lors des qualifications de Sepang.



« Dire que les gens étaient en colère ici est un euphémisme, mais ce sont les mêmes qui sont également déterminés à réagir. J’ai amené avec moi une coiffe de moine pour faire comprendre à chacun que nous devons aborder la saison avec humilité. Je ne veux pas voir des simagrées et une espèce de mauvaise comédie à la télévision après chaque course » a déclaré Luca Di Montezemolo après la réunion de crise, « Blague mise à part, je sais que ce groupe est réputé pour son sens de la fierté et ça nous aidera à sortir de cette situation par le haut. »



« La réunion était intense mais constructive. Nous savons que nous devons réagir pour rattraper la concurrence en termes de performance ; nous savons que c’est en partie le résultat de l’interprétation des règlements techniques, que beaucoup d’écurie considèrent comme incorrect. C’est pourquoi nous travaillerons d’arrache-pied pour avancer le plus possible le développement aérodynamique de la F60 » poursuit Di Montezemolo en faisant écho aux propos de Stefano Domenicali au soir du Grand-Prix de Malaisie. A l’instar de McLaren Mercedes ou d’autres écuries de constructeurs, la Scuderia Ferrari ne peut se permettre d’attendre la décision ferme et définitive du Tribunal d’Appel concernant le diffuseur double ancré à la crash box. La Rossa a initié un programme de conception et d’intégration de l’appendice aérodynamique, dont on dit qu’il permet de générer de 10 à 15% d’appuis supplémentaires. La FIA avait promis une réduction des budgets de fonctionnement, mais l’inflation guette les écuries qui n’ont pas d’autre choix que d’emboîter le pas à leurs rivales dominatrices en Australie et en Malaisie.



Le constat de Di Montezemolo comme celui de tout observateur attentif est simple : si les prestations de la F60 ont été plombées par des erreurs stratégiques (arrêt prématurée des pilotes en Q1 à Sepang, choix de pneus hasardeux en course pour Räikkönen) et des casses mécaniques, sa performance intrinsèque la place dans le peloton de tête derrière les écuries au diffuseur controversé. La F60 n’est-elle pas la seule à avoir débouté la Williams FW31 de la 1ère place en essais libres ? Son rythme de course avec le plein de carburant est constant et d’excellente facture et la monoplace rouge pèche encore dans l’exploitation des pneus tendres, notamment avec peu d’essence lorsque la voiture est délestée et qu’elle a du mal à générer de l’adhérence – ses carences aérodynamiques amplifient le vide. Si la greffe d’un diffuseur nouvelle génération prend sur le cheval cabré, on pourrait rapidement le voir sauter tous les obstacles qui se sont dressés devant lui jusqu’à présent.



D’où une remise à plat de l’avancée des travaux hivernaux, plutôt excellents par rapport à ceux de sa rivale McLaren Mercedes, minutieuse mais réfléchie. Il faut éviter de jeter le bébé avec l’eau du bain ; la F60 n’est pas fondamentalement une mauvaise monoplace, contrairement à la F92A avec laquelle Jean Alesi n’avait pu marquer que 18 points en 1992.



Le sentiment d’avoir été floué par des concurrents qui ont une grille de lecture du règlement différente de la leur, la frustration que ces dissidents aient été adoubé par la FIA, ne fait que renforcer la cohésion du groupe et sa solidarité en interne. « Nous avons foi en l’écurie qui, ne l’oublions pas, a remporté 3 des 4 derniers championnats du monde [NDLR : et même 8 des 10 derniers championnats Constructeurs]­. La réunion s’est tenue à huis clos, comme du temps de Jean Todt et Ross Brawn. L’équipe reste soudée, je crois en elle » conclut Di Montezemolo.

Ferrari mal en point

oh que oui. Très mal en point même. Je pense que ça changera. Mais on dit qu'il ya de fortes tensions internes.

domenicali doit montrer qui est le patron, refaire regner une ambiance de travaille sereine, et apres je me fais aucun soucis.

ferrari a l'argent et le savoir faire, mais je constate que tout comme mclaren, ils ont un directeur technique qui n'a pas fait les 90, contrairement a ceux des equipes qui se retrouvent desormais en pointe.

Il n'y a pas beaucoup d'équipes qui ont été crée avant 2000, si ce n'est Ferrari, McLaren, Williams et Renault (repris en 2002 mais ils étaient là dans les années 70-80 ), ça ne fait que 4 sur 10 équipes

Si on regarde bien, BMW est la suite de Sauber (elle en porte d'ailleurs trjs le nom)
Brawn la suite de BAR, ex Tyrell
Force India, ex Jordan
Red Bull, ex Jaguar, Stewart ...
Toro Rosso, ex Minardi
Toyota une structure neuve
Donc même si les noms ont changé, ça reste des structures anciennes.

Oui enfin bon ils ont changés de noms ^^. Renault c'est l'ex Benetton aussi

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McLaren a déjà testé un diffuseur double



Une convocation à comparaître devant la FIA ? McLaren Mercedes est coutumière du fait depuis 2 ans. Celle dont l’écurie de Woking fait l’objet, le 14 Avril prochain dans le cadre de l’auscultation du diffuseur double qui a motivé le dépôt d’une plainte à Melbourne et à Sepang (par Renault, Red Bull, Ferrari et BMW Sauber contre Williams, Brawn GP et Toyota), est nouvelle.



Pourquoi McLaren Mercedes est-elle convoquée ? D’après nos informations, elle serait entendue en tant que témoin et en sa qualité de concepteur. Partenaire de Force India et de Brawn GP, McLaren Mercedes fournit à ses deux clients la boîte de vitesses mais également, au moins pour partie, le train arrière de leur monoplace. Le train arrière, la zone rouge de ce début de saison, celle où l’on retrouve le diffuseur double couplé à la crash box. La preuve ? Force India devrait utiliser un diffuseur double en Chine (19 Avril) et McLaren Mercedes devrait lui emboîter le pas, à condition que la FIA donne son feu vert. L’appendice a déjà été testé à Jerez de la Frontera, lors des derniers essais hivernaux.

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BMW Sauber développe son diffuseur double

J – 5 ! Les acteurs principaux de la Formule Un – écuries et pilotes – sauront dans 5 jours (le 14 Avril au soir, lorsque le Tribunal d’Appel de la FIA rendra son verdict sur la conformité du diffuseur lié à la crash box) si la pièce qu’ils sont en train de jouer et dont les 2 premiers actes se sont conclus sur une domination sans partage des écuries exploitant un diffuseur double, changera de décor à partir du Grand-Prix de Chine (19 Avril).



Encore 5 jours et les plaignants (Renault, Ferrari, BMW Sauber, Red Bull) sauront à quelle sauce ils seront mangés, car s’ils font figure de prédateurs pour Brawn GP, Williams et Toyota (les 3 adeptes du diffuseur double), ils sont certainement aussi des victimes. Le 14 Avril, ils sauront s’ils ont jeté une fortune par la fenêtre en développant leur propre diffuseur double, ou s’ils sont condamnés à intensifier leurs efforts et leur développement pour coller au train du TGV Toyota/Brawn/Williams.








Chez BMW Sauber, les travaux de conception et de développement du diffuseur, dont le bénéfice est estimé à 10 à 15% d’appuis, a été initié après le GP d’Australie. « Une fois encore, la domination des écuries qui utilisent ce diffuseur double était criarde en Malaisie et chacun a pu se rendre compte dès les qualifications qu’il serait très difficile de briser le trio de tête » explique Mario Theissen.



Le directeur de BMW Motorsport a plusieurs fers au feu : le premier est de marquer au fer rouge les utilisateurs d’un diffuseur que la majorité des écuries estiment être en infraction avec le règlement. Le second est de développer un tel appendice aérodynamique afin de ne pas faire de 2009 une année blanche dès le 3è Grand-Prix de la saison ! « La FIA doit agir avec urgence et clarifier la situation. Ce genre de chose n’est pas positif pour le sport qui n’est intéressant que si tout le monde y participe avec les mêmes règles. Dans le cas présent ça reviendrait à disputer un 100 mètres avec des participants qui ont 10 mètres d’avance. Le résultat serait sans valeur. »

« Bien évidemment, nous avons été forcés de développer une solution similaire. Les écuries qui n’utilisent pas ledit double diffuseur doivent repenser leur voiture et la modifier pour gagner en compétitivité. Ça ne peut pas se faire en un clin d’œil. Le trio qui l’exploite déjà continuera son développement et nous devons partir du principe qu’il y a une grande marge de manœuvre et de progression dans ce domaine. »

Le copiage

Bah tout le monde doit en développé un mtnt, histoire d'être dans le coup ...
Mais rien ne dit que ça changera leur position ... Au mieux, ça réussit, et les voitures se rapprochent de la tête. Au pire, ça foire, et les voitures s'enfoncent dans le fond de classement (et oui, faut pas louper la construction du nouveau train arrière, sinon ça peut tout faire foirer ...)

surtout qu'il n'y a plus d'essais maintenant , ils devront tester ca en vrai sur les essais libres de vendredi et donc perdre du temps pour les plus jeunes sur le reglage pour le week end

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F1: Un moteur Cosworth pour l'USGPE ?
Tags : Formule 1 | Sport Auto | USGPE
Par Lionel Lucas - le Vendredi 10 avril 2009 | 4 commentaire(s)



On s'en doute, l'écurie USGPE qui va débarquer en 2010 en Formule 1 n'aura certainement pas le plus gros budget du plateau.

Dans cette hypothèse, il semble que le moteur retenu soit fourni par Cosworth.

Peter Windsor explique ce choix:

"La décision concernant le moteur s'intègre dans la renaissance de la Formule 1 et des temps qui courent.

Le moteur Cosworth est vraisemblablement une proposition attractive. Il est homologué et les gens de chez Cosworth ont fait du bon boulot avec Red Bull Racing avant que Renault ne prenne le relais.

C'est vraiment intéressant pour nous. Entre autres choses, Cosworth est possédé par un Américain, Kevin Kalkhoven, et c'est un petit plus sympa."

Reste à voir si ce "petit plus" leur apportera le succès !

D'ailleurs, on ne connaît toujours pas le vrai nom de l'écurie, même si USF1 ne sera pas retenu, Bernie y ayant mis son grain de sel !

Peter Windsor nous donne quelques précisions:

"Comme tout le monde, nous savons que le terme "F1" est une marque déposée Mais tant que nous étions un projet, une opération, il n'y avait pas besoin d'en changer car c'était un titre de travail.

Le nouveau nom, qui n'est pas très éloigné du premier, doit être proclamé bientôt, quand le Championnat 2010 sera annoncé par la FIA.

A ce moment, nous ferons aussi d'autres annonces."

Comme le nom des pilotes ?

Ça me donne des idées de sondage tout ça...

Source: L'équipe.fr

ça avance, ça avance

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F1: Les pilotes veulent décaler l'horaire des GP d'Australie et de Malaisie !
Tags : Formule 1 | GP Australie | GP Malaisie | Sport Auto
Par Lionel Lucas - le Vendredi 10 avril 2009 | 4 commentaire(s)



Ce n'est pas une surprise, le GPDA, l'association des pilotes de Grand Prix, se sont exprimés d'une seule voie au sujet de l'horaire des Grand Prix de Malaisie et d'Australie.

Ecclestone avait fait décaler les horaires de ces courses pour les adapter à un horaire européen, au détriment des conditions de course locales.

La pluie a certes joué un rôle énorme en Malaisie, mais même si elle n'était pas survenue, les pilotes pensent qu'il faut au moins décaler la course d'une heure pour gagner en luminosité:

"Nous avons déjà parlé à Charlie Whiting (le directeur des courses de F1), au sujet des problèmes qui auraient pu survenir.

En Australie, c'était très difficile. Le soleil était très bas, c'était dur de voir bien dans le premier virage et dans la ligne des stands.

En Malaisie, la baisse de luminosité a été très pénalisante.

Le problème n'était pas la pluie, car elle aurait aussi pu tomber à 14h comme à 18h.

Mais il était impensable de redémarrer la course si tard car il commencer à faire nuit. C'était le gros problème.

Il suffirait d'avancer les courses d'une heure pour faire la différence. Nous comprenons qu'il y ait des raisons commerciales, mais la sécurité doit primer."

Rappelons que les organisateurs du Grand Prix de Malaisie ont eux aussi exprimé le même souhait.

Est-ce que Bernie saura se raisonner ?

Source: Autosport.com

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F1: La Scuderia remercie Schumacher pour les 2 prochaines courses !
Tags : Ferrari | Formule 1 | Michael Schumacher | Sport Auto
Par Lionel Lucas - le Vendredi 10 avril 2009 | 14 commentaire(s)



Vous le savez, certaines (mauvaises ?) langues ont accusé Michael Schumacher pour les déboires rencontrés par la Scuderia lors du Grand Prix de Malaisie !

Évidemment une telle rumeur est très difficile à croire, quand on voit le palmarès de Schumi... quoi qu'il en soit, un porte parole de l'écurie italienne a déclaré que le multiple champion du monde de la discipline ne serait pas sur les bancs de Ferrari sur les 2 prochaines courses !

On ne le verra donc pas en Chine ni à Bahreïn.

Luca di Montezemolo en a même rajouté, en affirmant ceci:

"Je ne veux pas que notre équipe soit la protagoniste d'une comédie après chaque course."

Est-ce que la Scuderia n'est pas de cette manière en train de persévérer dans ses mauvais choix ?

Un bon résultat en Chine la semaine prochaine pourrait permettre à la Scuderia de se remettre en selle, et d'oublier ce très mauvais début de saison.

Dans le cas contraire, ce départ de Schumacher pourrait être le premier d'une longue série...

En tout cas, Ferrari va se priver d'un conseiller de luxe !

Source: Go-F1.com

C'est la que les Ferrari gagne en Chine et au Bahrein ça aurait belle gueule sur Schumi