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Décès de Dino Toso
Formule 1
Dino Toso, ancien chef aérodynamicien de Renault, est décédé d'une longue maladie à l'âge de 39 ans, mercredi matin, à son domicile.


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Webber courra à Melbourne, affirme Red Bull Racing



Mark Webber sera fidèle au poste et au volant le 29 Mars à Melbourne pour le 1er Grand-Prix de la 60è édition du championnat du monde de Formule 1, affirme Red Bull Racing dans un communiqué destiné à rassurer les partenaires de l’écurie de Milton Keynes ainsi que le public sur l’état de santé de son pilote ainsi que sur la gravité de ses blessures.



Emporté par son élan, Webber (qui participait sur deux roues à la dernière manche du Tasmania Challenge) a percuté une voiture de face et souffre d’une fracture qui a été réduite quelques instants après l’accident. « Mark restera en Australie quelques jours avant de poursuivre sa convalescence en Grande-Bretagne » explique Red Bull Racing, « Il ne pourra pas respecter son programme d’essais hivernal mais nous nous attendons à ce que Mark soit sur la grille de Melbourne en Mars. »



Une affirmation gratuite mais que les propos du Père de Mark (Alan) et des médecins du Royal Hobart Hospital étayent, eux qui ont précisé qu’aucune complication n’était attendue puisqu’aucun organe vital de l’Australien n’avait été touché, pas plus que les parties du corps fortement sollicitées par l’exercice de la Formule 1, notamment au niveau squelettique.


automoto365.com

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Barrichello fait des révélations sulfureuses sur l’Autriche 2002

Absent des essais hivernaux, Rubens Barrichello ne fait plus parler de lui sur la piste, mais en dehors. En ouvrant la boîte de Pandore de l’Autriche 2002, le Brésilien est assuré de continuer à faire vivre son nom dans les paddocks. L’espace d’une intersaison…



Après 271 présences en Grand-Prix et 16 années d’activité en Formule 1, Rubens Barrichello disparaîtra peut-être du paysage de la plus haute distinction du sport automobile. Dans la froidure de l’hiver et par la petite porte. Privé de jubilé comme l’autre vétéran du plateau 2008, David Coulthard, qui s’est offert des adieux de marque même si passablement écourtés en course par un accrochage dans le premier tour du Grand-Prix du Brésil.



Rubinho n’a pas été convoqué par Honda aux essais de Barcelone et ne devrait pas faire partie du voyage de Jerez de la Frontera, du 9 au 11 Décembre. Deux compatriotes passent des entretiens d’embauche in situ et ne rêvent que de lui montrer la porte de sortie. Bruno Senna et Lucas Di Grassi ont tous deux l’argument de la jeunesse à faire valoir et le premier nommé dispose d’un atout maître dans son jeu : son patronyme. Reconstituer le tandem Honda/Senna a de quoi frapper l’imaginaire collectif, tant au sein du directoire du constructeur Nippon que dans le cœur du public.



Être tenu à l’écart des traditionnelles pistes dévolues aux essais hivernaux chagrine Barrichello, lui qui n’avait pas manqué de préparation à une saison de Formule 1 depuis 1993. Être une page que l’on tourne sans marque de reconnaissance, prendre conscience qu’il ne sablera plus le champagne sur les podiums les plus vus dans le monde, est au-dessus des forces du Pauliste. Barrichello a la sensation d’être délaissé. Pire, il vit sa quarantaine comme une injustice qu’il a envie de crier au monde entier. Comme pour mieux faire bouger ce colosse au cœur froid qu’est la F1. Si se rappeler au bon souvenir de tous ne peut passer par des exploits en piste, sortir des squelettes du placard a toujours de quoi hanter les principaux intéressés et ravir le public toujours friand des vérités des coulisses ; la manœuvre permet également de faire vivre le nom de Barrichello dans les gazettes F1. Le temps d’une intersaison…








Ceux qui ont toujours voulu tout savoir sur l’épilogue du Grand-Prix d’Autriche 2002 sans jamais oser le demander ont le fin mot de l’histoire, version Barrichello. Pour mémoire, Rubens, qui menait la course alors que l’arrivée était en vue, avait laissé Schumacher s’imposer, par le truchement d’un ralentissement ostentatoire dans le dernier virage. Une manœuvre qui incitera la FIA à interdire les consignes de course l’année suivante. Une directive qui a encore court aujourd’hui, et que Lucas Di Montezemolo souhaiterait voir jeter dans les oubliettes de la F1, afin d’en finir avec l’hypocrisie.



Les cloches de Sao Paulo avait tinté la semaine dernière lorsque Barrichello avait annoncé « Le public ne sais pas la moitié de ce que j’ai vécu chez Ferrari. Peut-être qu’un jour il pourra lire la vérité dans un livre. »

Rubinho n’a pas attendu la parution d’un livre. Aussi, malgré les 9 victoires et 55 podiums que lui a apporté la Scuderia Ferrari, malgré le plaisir de s’accomplir professionnellement en pilotant les plus belles machines de leur génération, Barrichello n’hésite pas à poignarder Ferrari en déclarant à la télévision Brésilienne, lors de l’émission Fantastico, « A huit tours de l’arrivée, la discussion avec les stands a commencé. Ils m’ont dit : ‘Derrière toi, il y a Michael, tu sais à quel point c’est important pour le championnat.’ Plus les tours ont passé, plus la conversation est devenue intense. Pourquoi ne l’ai-je laissé passer que dans le dernier virage ? Parce que j’étais arrivé à l’entrée de l’avant-dernier en étant déterminé à ne pas le laisser me dépasser. Mais ils m’ont dit que, si je ne le faisais pas, ils allaient revoir mon contrat. Pour moi, c’était un ordre : il vaut mieux que ce soit toi qui lève le pied, sinon ils vont finir par te renvoyer à la maison. »








Barrichello avoue qu’il a longuement négocié, et qu’il aurait notamment voulu pouvoir demander à Schumacher s’il était au courant de ce qui se tramait dans les dernières boucles de ce Grand-Prix d’Autriche 2002, « Je voulais savoir s’il avait connaissance de tout ce qui se passait, parce que ça n’était pas juste de faire cela devant tout le monde. Ils m’ont dit que ça n’était pas à lui de décider. Mais, chez moi, j’ai des documents qui contiennent toutes les preuves qu’il avait conscience de tout ce qui se passait. »



Le son des cloches de Maranello est tout autre. Par l’intermédiaire de Luca Colajanni, son attaché de presse, la Scuderia Ferrari à sobrement répliqué à l’agence Dire : « S’il a vraiment dit ça, ces mots n’ont aucun sens. »



Les mots de Barrichello ont un sens très clair. Reflètent-t-il la vérité ? Au moins celle de leur auteur. Une autre vérité est que Rubens a avalisé la consigne en obtempérant en 2002 et qu’en dénigrant son employeur 7 ans plus tard il se dénigre également. Le dilemme était certainement cruel entre loyauté à son employeur, politique d'entreprise et honneur personnel, mais Rubinho aurait pu s’inspirer d’un précédent. René Arnoux avait refusé de laisser passer son équipier, Alain Prost, au GP de France 1982, dans un cadre encore plus sulfureux puisqu’il avait accepté les consignes avant la course.

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Montoya ne retournerait pas en F1, "Même si Ferrari ou McLaren me voulait"

Champion de F3000 International en 1998 à l’époque où l’antichambre de la F1 faisait encore autorité, titré en Champ Car l’année suivante et détenteur d’une bague de vainqueur des 500 miles d’Indianapolis au tournant du millénaire, Juan Pablo Montoya a débarqué en Formule 1 tout auréolé d’un palmarès digne d’un futur jeune premier. De fait, ses débuts dans la catégorie reine du sport automobile ne sont pas passés inaperçus. Formidablement agressif, doté d’un talent naturel hors normes, téméraire et voulant bousculer l’establishment, le kid de Bogota a rapidement été pressenti comme celui qui allait faire tomber Michael Schumacher de son piédestal.



6 ans et 7 victoires en Grand-Prix plus tard, Juan Pablo a eu son content de claques ; il les a prises avec ses cliques et s’en est retourné aux USA vivre son rêve Américain. Le Colombien gravit lentement les échelons de la NASCAR et n’envisage pas de faire un come back en Formule 1. Les occasions n’ont pourtant pas manqué… « Ils me veulent encore mais j’ai rejeté leurs offres et lorsqu’ils ont demandé mon numéro de téléphone pour me parler directement, j’ai toujours dit que s’il s’agissait de F1 ils perdaient leur temps car ça ne m’intéresse pas » avoue Montoya à l’agence EFE, « Je suis très heureux en NASCAR. Ma famille est heureuse aux USA et pour être honnête revenir en F1 ne m’a jamais traversé l’esprit. Je n’y retournerai pas, même si Ferrari ou McLaren me voulait. »

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Hartley et Buemi remplaceront Webber à Jerez

L’indisponibilité de Mark Webber durant les essais hivernaux – le pilote Australien doit observer une convalescence de plusieurs semaines à la suite d’une fracture à la jambe droite – a le mérite de dévoiler l’identité du pilote appelé à prendre la succession des Speed, Vettel et autre Buemi, à savoir celui que Red Bull Racing considère comme le plus valeureux de sa filière de détection de jeunes talents.



L’heureux élu aurait pu être le Canadien Robert Wickens ou le Finlandais Mika Mäki, tous deux brillants animateurs des pelotons F3 Euro Series – le premier nommé a également officié en World Series by Renault. Il viendra de l’hémisphère sud en la personne du Néo-Zélandais Brendon Hartley. Un beau cadeau d’anniversaire à retardement pour Brendon qui a fêté ses 19 ans le 10 Novembre dernier. Champion Formule Renault 2.0 Euro en 2007, le Kiwi a terminé le championnat F3 Britannique à la 3è place dès sa première participation à la série, en 2008. Brendon a conclu sa saison en beauté en montant sur le podium de Macao et en s’adjugeant le meilleur tour en course de la prestigieuse manche qui regroupe les pilotes F3 venus de tous les horizons (Euro Series, Grande-Bretagne, Espagne, Japon).








En compagnie de Sébastien Buemi (selon toute logique, Sébastien sera titulaire chez Toro Rosso en 2009), Bendron Hartley remplacera Mark Webber aux essais de Jerez de la Frontera, à la mi-Décembre. Les deux hommes se partageront le travail, mais le Suisse se taillera logiquement la part du lion. Buemi prendra le volant les 3 jours d’essais alors qu’Hartley aura le privilège de rouler le 1er jour, avant que Vettel ne prenne le relais.

« Brendon est l’un des éléments brillants de notre équipe junior et une opportunité de lui permettre de monter dans une F1 pour la 1ère fois s’est fait jour » a déclaré Christian Horner, directeur de Red Bull Racing.



« En fonction de ses performances, il pourrait devenir un pilote essayeur Red Bull en 2009 » renchérit le manager d’Hartley, Peter Jonhston, « Ce test est une nouvelle étape dans son rêve d’accéder à la F1. Il fait partie de son apprentissage. Brendon a travaillé d’arrache-pied dans la salle de sport et a entraîné les muscles de son cou qui sont fortement sollicités par les forces G générées par les F1, surtout à Jerez qui comprend des courbes rapides. »

La nouvelle zélande est en train de sortir de bons pilotes Hartley, Bamber On devrait les voir au plus niveau sous peu =)

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Un pilote F3 bat le record de Fiorano de la F2008…

Les trois pilotes issus du championnat de Formule 3 Italie qui se sont vus offrir un essai au volant de la F2008 ont impressionné la Scuderia Ferrari. C’est en récompense de leur place sur le podium du championnat dont la marque au cheval cabré s’est rapprochée dans le but de promouvoir les jeunes talents transalpins que Mirko Bortolotti, Edoardo Piscopo et Salvatore Cicatelli ont eu le privilège de se glisser dans le cockpit de la monoplace de Formule 1 championne du monde des Constructeurs.



Le roulage avait lieu sur l’un des terrains de jeu de prédilection de la Rossa en hiver, à Fiorano. Un coup d’essai qui s’est transformé en coup de maître se sont empressés d’affirmer certains organes de presse en soulignant que le champion de la bande, Mirko Bortolotti (19 ans le 10 Janvier prochain), s’est permis le luxe de signer le meilleur temps (59:111) enregistré par une F2008 cette année à Fiorano. A titre d’information, aucune séance d’essais privés n’a été organisée à Fiorano depuis le… 7 Janvier 2008 (Räikkönen avait tourné en 1:00.897), soit dans la foulée du lancement de la F2008 !



La performance de Bortolotti n’en reste pas moins remarquable, comme le souligne Luca Baldisseri, sous l’œil duquel le trinôme Italien s’est produit après une séance de répétition dans le simulateur et un briefing mené par l’un des pilotes essayeurs maison, Andrea Bertolini. « Ils ont été étonnants, ils n’ont pas fait la moindre faute malgré une piste humide dans la matinée » souligne Baldisseri, « Ils ont tous un grand potentiel. »



« C’est un rêve qui devient réalisé. Je me suis senti à l’aise dès le début car la voiture vous donne confiance » tempère Bortolotti, « On ne peut la comparer à aucune autre voiture. Le plus dur est de parvenir à tirer la quintessence des freins. J’ai signé le meilleur tour et ça ne pouvait donc pas mieux se passer. Mais je dois dire que j’aurais été heureux même si je n’avais pas fait le meilleur temps. »

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Chandhok pemier Indien membre du prestigieux BRDC

Karun Chandhok est le premier Indien à être intronisé dans le prestigieux BRDC, le British Racing Drivers' Club dont l’histoire remonte aux années 1920, lorsque Bentley dominait sur la scène internationale. Fondé en 1928, le BRDC a pour vocation de promouvoir le sport automobile dans son ensemble, d’accueillir les pilotes étrangers venus se produire au Royaume Uni, et d’aider les sujets de sa gracieuse Majesté à prospérer où qu’ils se trouvent sur la planète.



C’est sous la présidence du champion du monde de Formule Un 1996, Damon Hill, que Karun Chandhok a le privilège d’intégrer le BRDC. Le Club basé sur le circuit de Silverstone tente de ne pas perdre de son aura malgré la perte de l’organisation du Grand-Prix de Grande-Bretagne et l’ouverture de ses portes à un pilote venu d’un pays émergeant dans le monde du sport automobile et qui est une ancienne colonie Anglaise est un geste politique judicieux. « Le BRDC est un club pour les meilleurs pilotes de Grande-Bretagne et du Commonwealth » rappelle Stuart Pringle, secrétaire général du BRDC, « Karun est le premier Indien à satisfaire aux exigences de succès internationaux dans les sports mécaniques, mais je suis sûr qu’il n’est que le premier d’une longue lignée d’hommes et de femmes venues de son pays. »



Un discours qui appartient à une autre époque et qui se veut particulièrement optimiste dans sa conclusion, mais qui enrichira le CV de Chandhok, actuellement en négociations pour effectuer une 3è année de GP2. « Etre un membre du BRDC est l’équivalent pour la course automobile de devenir membre de la MCC, les Lords du Cricket, ou appartenir au All England Lawn Tennis Club de Wimbledon » explique Karun, « Je suis très fier d’être le premier représentant de mon pays à devenir membre du BRDC. Courir en Grande-Bretagne a été une partie importante de ma vie et être reconnu par les gens de ce pays me procure de grandes sensations. Le BRDC est basé à Silverstone qui est mon circuit à domicile jusqu’à ce que nous ayons un Grand-Prix d’Inde en 2011. J’ai travaillé ici, à l’école de conduite, lorsque je pilotais en F3 et j’ai appris à connaître et à apprécier le BRDC. »

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Button pense qu’une victoire est possible en 2009

Les pronostics n’appartenaient plus au vocabulaire de Honda Racing depuis près de 2 ans. Jenson Button est le premier à briser la loi du silence. Le Britannique espère sabler le champagne en 2009, et pourquoi pas épingler une 2è victoire à son palmarès.



Honda Racing sort de deux Annus Horribilis. Ses 20 points en 2 saisons – un total que McLaren Mercedes avait dépassé après 2 Grand-Prix en 2008 – et son abonnement à la dernière place des constructeurs au championnat du même nom, ont été durement ressentis du côté du pays du soleil levant où le déshonneur équivaut à une petite mort morale. Honda a mis sur pied un plan de relance qui passe par les pleins pouvoirs donnés à l’ancien stratège et directeur technique de la Scuderia Ferrari de l’ère Dream Team, Ross Brawn. Elle espère capitaliser sur son investissement à l’occasion du tournant technique pris par la F1 en 2009.



Convaincue que la RA108 n’avait pas le potentiel pour faire mieux que collectionner les 2è parties de la grille de départ et de la ligne d’arrivée, l’écurie de Brackley a très tôt abandonné le développement de sa monoplace 2008 pour se concentrer sur la nouvelle donne définie par la FIA et son groupe de travail technique : pneus slicks, coupe claires dans l’aérodynamique et KERS devront être harmonieusement intégré dans le package 2009.






Honda a pris une avance sur ses coreligionnaires en matière de conception et de développement du système de récupération et de restitution de l’énergie cinétique – elle lui donnait son baptême de la piste alors que Ferrari et McLaren Mercedes accumulait les pépins de jeunesse au banc – et espère en tirer avantage pour entamer la saison prochaine sur les chapeaux de roue. Chez Honda, méthode Coué ou sincère conviction que l’écurie peut sortir de la crise vers le haut, les voyants et les discours sont au vert. « Les 2 dernières années ont été très difficiles pour nous tous, mais je pense que nous avons une équipe forte et passionnée par la course. Les choses viendront à nous » affirme Jenson Button.



« J’ai déjà pu me rendre compte de ce qu’il se passe sur la voiture de l’année prochaine et ça a l’air très positif. On a le sentiment d’être en 2006, lorsque j’avais obtenu 3 podiums et 1 victoire. Tout est donc très positif et j’espère remporter quelques victoires l’année prochaine. »

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Le contrat de Fisichella inclut le partenariat McLaren Mercedes

La semaine dernière, Automoto365.com vous faisait part de la belle assurance affichée par l’entourage de Giancarlo Fisichella : non, le Romain n’est pas sur un baquet éjectable malgré l’arrivée en force de McLaren et de Mercedes dans le fonctionnement de l’écurie Force India.



Aujourd’hui, Fisichella met lui-même les points sur les i en distillant quelques menus détails sur la teneur de l’accord qui le lie à l’écurie de Silverstone. L’Italien aurait non seulement un contrat en bonne et due forme, mais il inclurait aussi et surtout le partenariat technique avec McLaren et Mercedes… « J’ai signé un contrat de 2 ans qui a été revu en Septembre afin d’y incorporer l’accord avec McLaren » révèle Giancarlo sur le site officiel de la F1, « En quelques mots, l’écurie m’a offert une meilleure voiture et un package différent. J’ai accepté sa proposition et les deux parties ont signé un nouveau contrat entre Singapour et la Chine. C’est pourquoi le Dr Mallya a effectué l’annonce à Shanghai. »

Et Fisichella d’aller plus loin dans ses révélations en intégrant son équipier, Adrian Sutil, dans le même type de contrat. ­­­­­« Ce partenariat [avec McLaren et Mercedes] est le plus grand pas en avant vers la compétitivité. Vijay construit une plateforme solide afin qu’Adrian et moi ayons une véritable chance d’être performants. »








La présence de Pedro De La Rosa dans un baquet VJM01 à Barcelone ? A l’instar de Sutil, Fisichella balaie la menace d’un revers de la main. « La seule que je sais c’est qu’en Septembre on m’a dit que Pedro pourrait effectuer des tests et que nous ne pouvions pas divulguer la chose avant qu’elle ne soit officiel. Je n’ai donc pas été surpris. Pour le reste, les rumeurs ne m’intéressent pas ! »



Autant d’arguments qui apportent de l’eau au moulin de la paire de pilotes Force India. Alors pourquoi douter de leur avenir ? Car Mallya n’a pas officiellement reconduit ses pilotes ? « Le line-up de l’écurie a été annoncé par Vijay en Chine en Octobre et j’ai confiance dans les gens qui me font confiance » oppose Fisichella dont le son de cloche est en tout point identique à celui de Sutil. Autre indice en faveur du maintien des deux hommes à leur poste, Force India publie les propos rassurants de ses pilotes dans la catégorie des nouvelles concernant l’écurie, et donc avalisées par elle…

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Un GP de Grande-Bretagne sans voiture !

Le premier Grand-Prix de Grande-Bretagne de l’Histoire à se dérouler sur le circuit de Donington, en 2010, ne verra aucune voiture affluer vers le circuit ni se garer dans son enceinte extérieure. C’est le vœu que formule la direction de Donington qui espère faire de l’évènement « Le premier Grand-Prix où l’on se rend en utilisant les transports en commun » selon le message envoyé par le directeur délégué de Donington Ventures Leisure, Simon Gillett, « Nous n’apporterons aucune voiture ici. Nous utiliserons tous les transports en commun depuis les grandes villes avoisinantes, l’aéroport et les parkings de la gare. »



Une mesure qui n’a pas pour intention de flatter la fibre écologique dont la F1 veut se doter, mais qui pourrait permettre de se prémunir des critiques concernant le trafic routier qui s’étaient abattues sur Silverstone. Compte tenu de l’emplacement de Donington – dans la campagne, à 60 à 80km des agglomérations de Nottingham et Leicester – la congestion des voies d’accès est une nuisance hautement probable en cas de forte affluence.



Par ailleurs, Simon Gillett a rassuré son monde quant aux délais de livraison de l’outil de travail du plateau F1. « Nous sommes dans les temps par rapport au planning des travaux. Nous avons un programme de construction de 9 mois et avons une fenêtre de 18 mois. Nous avons le temps et l’argent. Ce sera le plus beau circuit au monde. »

automoto365.com

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Force India Fisichella confiant pour 2009

Giancarlo Fisichella a certainement vécu sa pire saison en F1 cette année à bord de sa Force India. Avec zéro point au compteur, l'Italien a connu sa deuxième saison blanche après celle de ses débuts, en 1996 avec Minardi. Pour autant, Fisichella, qui ne craint pas de perdre son volant au profit d'un autre pilote, reste confiant et estime que le partenariat entre l'écurie indienne et McLaren-Mercedes devrait porter ses fruits.

«Je savais que la saison serait difficile, explique-t-il dans une interview au site officiel de la F1. On ne m'avait fait aucune promesse, je n'ai donc pas été surpris. L'objectif était de construire pour l'avenir, je ne peux donc pas dire que j'ai été déçu par ma saison. Nous n'avions pas une voiture compétitive. Deux fois nous avons été dans les points, Adrian (Sutil) à Monaco et moi au Brésil, mais nous n'avons pas fini la course, et pas à cause d'erreurs de pilotage.»

«Je ne prête pas attention aux rumeurs»

Il y a trois semaines, Vijay Mallya, le propriétaire indien de l'écurie, a annoncé la signature d'un partenariat avec McLaren-Mercedes pour succéder à celui avec Ferrari. La VJM02 sera donc équipée de moteurs Mercedes et de boîtes de vitesse McLaren. Une nouvelle collaboration qui redonne espoir à Fisichella : «Ce partenariat est notre principale avancée vers une compétitivité retrouvée. Vijay construit une base solide pour aller de l'avant et nous offrir, à Adrian et moi, l'opportunité de réaliser de bonnes performances sur la piste.» Néanmoins, l'équipe a annoncé qu'elle ne ferait pas de tests tant que la nouvelle monoplace ne sera pas équipée des éléments McLaren, c'est à dire peut-être mars prochain, ce qui ne devrait pas faciliter la pré-saison de l'Italien : «Je vais avoir de longues vacances, répond-il avec le sourire. Je vais en profiter pour bien m'entraîner.»

Une autre interrogation est née de l'arrivée conjuguée de McLaren et Mercedes : quels seront les deux pilotes la saison prochaine ? Après les tests effectués par Pedro de la Rosa, le pilote essayeur McLaren, à Barcelone il y a deux semaines, la rumeur a enflé. Fisichella y répond fermement : «J'ai signé un contrat de deux ans qui a été révisé en Septembre pour intégrer l'accord avec McLaren. Pour résumer, l'écurie a promis de m'offrir une meilleure voiture. J'ai signé le nouveau contrat entre les Grands Prix de Singapour et de Chine. En septembre, on nous a dit que Pedro pourrait faire des tests. Pour le reste, je ne prête pas attention aux rumeurs. Le duo pour 2009 a été annoncé en Chine par Vijay, et je fais confiance aux personnes qui me font confiance.»

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Alonso pourrait quitter la F1 en cas de standardisation des moteurs

Brandie comme une menace par Max Mosley dans l’éventualité où les constructeurs ne parviendraient pas à proposer à la FIA une refonte de la philosophie des moteurs de nature à permettre de larges économies, la standardisation des blocs propulseurs de la Formule 1 effraie. Les constructeurs en premier lieu. Ferrari a répliqué par une menace de retrait de la F1, en accord avec ses partenaires qui ne se reconnaitraient plus dans une formule monotype. Le premier constructeur automobile mondial, Toyota, a également laissé entendre qu’il lui faudrait réviser sa déontologie et voir si elle était en adéquation avec une F1 sans relief technique ni compétition inter-constructeurs.



L’épouvante gagne également l’ensemble des observateurs, le public et les pilotes ; Ces derniers sont généralement habitués à manier la langue de bois lorsque le sujet des directives de la FIA est abordé. Alonso et son franc-parler brise la loi du silence. « S’ils approuvent ça, c’est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Il serait alors temps de penser à se retirer » a révélé Fernando avec gravité, lors d’un évènement de charité mis sur pied par le sponsor-titre de Renault, ING.



Et le double champion du monde d’avouer que le grand barnum de la F1 et ses replis techniques vident de sa substance les défis que les tandems constructeurs/pilotes doivent relever. « En 2005 nous avions un V10 et 1000cv » rappelle l’Asturien, « C’était très excitant pour le pilote, piloter à la limite. Nous sommes passés de voitures futuristes à des autos qui n’ont pas d’adhérence ni d’aide électronique et qui semblent appartenir au passé. »



Le spectre brandi par Max Mosley s’inscrit en droite ligne de sa politique – menacer la F1 d’une mesure en contravention avec l’esprit du sport pour forcer les constructeurs à réfléchir à ses propositions – ne verra probablement pas le jour, mais en se mettant l’ensemble de la profession à dos, le président de la FIA a certainement touché les limites de ses joutes politiques.

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F1 : Berger-Tost-Ascanelli : de Toro Rosso à Force India ?
Tags : Force India | Formule 1 | Rumeur | Sport Auto | Toro Rosso
Par Patrick Garcia - le Mardi 02 décembre 2008 | 3 commentaire(s)



Gerhard Berger a récemment avoué que son retrait de la F1 n'allait pas être très long et qu'il allait réapparaître bientôt.

La vente de ses parts dans Toro Rosso à Dieter Mateschitz procède d'une analyse simple. Sans l'aide d'un grand constructeur, ni la capacité technique et financière de faire sa propre monoplace (puisque les châssis clients ne sont toujours pas autorisés), impossible pour Toro Rosso de faire mieux que la saison qui vient de s'écouler. Et Berger n'aime pas régresser.




C'est du moins le sentiment exprimé par l'autrichien qui a donc souhaité s'éclipser n'ayant manifestement pas les mêmes ambitions que son ami co-propriétaire et patron de Red Bull. Bref, le rachat de Toro Rosso par Mateschitz semble être finalement le prélude à sa revente.

Selon le quotidien allemand TZ, Gerhard Berger se serait déjà investi dans une nouvelle aventure : celle de Force India.

En effet, l'équipe indienne qui a récemment remercié ses principaux responsables (Gascoyne et Kolles) et signé un accord de partenariat technique avec McLaren (Berger et McLaren, c'est une vieille histoire) est un team réellement ambitieux à l'image de son patron Vijay Mallya.

Il se murmure que Franz Tost et Giorgio Ascanelli pourraient bien accompagner Gerhard Berger vers le team indien.

Dernière rumeur, Gerhard Berger deviendrait le manager de Sébastien Vettel qui n'avait jusqu'ici personne (si ce n'est Red Bull) pour "couver" sa carrière.

à confirmer

via autosports.be

caradisiac

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Programme des pilotes McLaren Mercedes : camp d’entraînement et réflexions sur 2009

La jonction entre les deux championnats 2008 et 2009 a beau être longue de près de 5 mois, l’emploi du temps des pilotes de Formule 1 ne leur ménage que peu de temps libres. Entre bilan de la saison, opérations promotionnelles et de relations publiques, Lewis Hamilton et Heikki Kovalainen ont respecté un agenda chargé. Aussi, alors que les essais privés se profilent à l’horizon et qu’il convient de tourner son esprit vers 2009, Kovalainen et Hamilton sont impatients à l’idée de faire le travail foncier nécessaire à tout pilote de F1 qui veut entamer la saison régulière sans lacune physique.



Alors que les ingénieurs mettent la dernière main aux 2 monoplaces que McLaren Mercedes dépêchera à Jerez de la Frontera puis dans l’Algarve pour les 2 dernières séances d’essais de l’année, les 2 sociétaires de l’écurie de Woking (en compagnie des 2 pilotes essayeurs de l’écurie, Pedro De la Rosa et Gary Paffett) travailleront leur condition physique à l’Institut Kuortane Sports, en Finlande – un centre d’entraînement en service depuis près d’un demi-siècle et qui sert de base de travail aux athlètes Finlandais lorsque le temps est venu de préparer les Jeux Olympiques.



« Aller en Finlande pour notre camp d’entraînement d’hiver, ce sont quelques unes des plus belles semaines de l’année pour moi ! » s’enthousiasme le champion du monde en titre. « Ça vous donne la sensation d’être à des kilomètres de tout et totalement coupé du monde extérieur. Ça me permet de me concentrer uniquement sur mon entraînement. La semaine est tout sauf facile : la Finlande en hiver, c’est froid et couvert de glace et nous allons chaque jour un peu plus loin au niveau physique. Nous passons la 1ère partie de la semaine à faire des tests pour définir notre foncier et notre marge de manœuvre puis nous passons le reste du temps à faire des exercices spécifiques qui nous aideront lorsque nous remonterons dans l’auto. »



« Après le Brésil, il est bon de pouvoir se reposer convenablement car c’est la seule fois de l’année que vous avez l’occasion d’adoucir un peu votre entraînement. Mais c’est en Finlande que tout redémarre à nouveau. Le Brésil me semble bien loin et je me concentre à 100% sur 2009. J’ai moulé mon baquet en Novembre et le projet est de commencer à rouler en Janvier. J’ai hâte. »



« Après la Finlande, j’assisterai à quelques évènements majeurs en Grande-Bretagne : les Autosport Awards, la course des champions et la BBC Sports Personality of the Year (ndlr : élection de la personnalité de l’année). Ce sont autant d’évènements fantastiques qui me donne de l’énergie car je passe du temps avec mes collègues dans un environnement détendu et je rencontre des fans Anglais. Avant Noël, je prévois de prendre des vacances et d’être frais et dispo pour démarrer le programme d’essais hivernal avec la MP4-24. J’ai déjà observé la nouvelle voiture de près et les ingénieurs m’ont expliqué la philosophie qui a conduit à sa conception et ce qui fera que les choses seront différentes l’année prochaine. J’ai suivi les essais avec un grand intérêt, je pense que les nouvelles voitures feront de l’année prochaine un championnat ouvert et je suis impatient de m’attaquer à ces nouvelles réglementations. »



« La fin de l’année est très importante pour moi. C’est la première fois de l’année que je peux réellement me reposer et recharger les accus avant que tout ne redémarre » explique Heikki Kovalainen, « C’est pourquoi c’est une période si importante pour votre condition physique. Il est vital de débuter l’année avec un bon travail de fond car il est difficile de s’entraîner autant que vous le voudriez pendant la saison. Ça signifie que le niveau de base qui est le votre à la sortie de l’hiver est celui que vous conserverez tout au long de l’année. »



« C’est la raison pour laquelle notre camp de Seinajoki est si important : il est réservé à l’équipe et il n’y a aucune distraction possible. C’est un programme intense, on se lève tôt le matin et on s’entraîne toute la journée – souvent dehors dans le froid, mais c’est fun ! Bien sûr, le fait que ce soit dans mon pays, en Finlande, m’aide car c’est encore plus relaxant pour moi. »



« Pour moi, la saison 2009 a débuté dès que je suis revenu du Brésil. J’ai passé 2 jours au McLaren Technology Centre pour mouler mon baquet pour le châssis 2009 qui a déjà l’air prometteur. Puis je suis allé au Stars & Cars à Stuttgart et j’ai pris de courtes vacances. Après le camp d’entraînement, je serai impatient de remonter dans l’auto après un mois loin du cockpit. Je roulerai en essais à Jerez et Portimao plus tard dans le mois, puis je me préparerai à ma découverte de la MP4-24 pendant les fêtes de Noël. 2009 ne peut pas débuter trop tôt pour moi, je suis vraiment impatient de monter dans l’auto et de comprendre dans quelle mesure les nouvelles réglementations affecteront les pilotes. »

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Rossi : "En F1 en 2011"

On pardonne beaucoup à un champion du monde. Lorsque ses titres sont multiples et qu’il s’agit de l’un des plus grands talents et palmarès de l’Histoire du sport, les pardons se font absolutions. Sans réserve et quelles que soient les prises de positon et revirement. Valentino Rossi est passé maître dans l’art de se contredire et de mener le public, la presse (et les écuries ?) en bateau. Après un énième galop d’essai avec le cheval cabré, la semaine dernière à Fiorano, l’Italien revient sur sa dernière position, qui était l’inverse de la première et probablement l’opposée de la suivante en affirmant qu’il se verrait bien franchir le cap de la compétition et intégrer le championnat du monde de Formule 1.



« Le fait d’essayer la Ferrari, d’être rapide et de tester une voiture sans contrôle de traction, ce fut passionnant, » explique Rossi dans une interview au Corriere della Sera. La promesse de faire ce test dans l’unique but de s’amuser est foulée au pied du cheval cabré et Rossi se permet le luxe de laisser entendre qu’il pourrait briser le contrat qui le lie à Yamaha ! « J’ai un contrat avec Yamaha et je répète que je courrai en MotoGP même s’il est vrai qu’on peut toujours rompre un contrat. »



« Si jamais je fais encore deux ans en MotoGP et qu’ensuite je passe à autre chose ? Il faudra voir deux choses : la première c’est ma motivation et mon envie de continuer, la seconde c’est est-ce que je serai aussi en forme et aussi rapide qu’aujourd’hui ? » précise Rossi dont le cœur balance entre MotoGP, Superbike, WRC et Formule 1. « Si jamais je me retrouve dans la position de choisir entre toutes ces situations – ce qui semble irréel – aujourd’hui je peux dire que ce qui me stimulerait le plus pour 2011 ce serait de courir en Formule 1. Je vous explique pourquoi : pour le rallye j’aurais encore du temps devant moi, pour le Superbike aussi je crois avoir du temps plus tard. Mais j’ai peur de ne pas avoir d’autres chances pour la F1. »



A 33 ans, Rossi serait l’une des recrues les plus âgées d’une époque où le jeunisme est roi. Mais le transfert du roi du MotoGP en F1 serait une opération publicitaire remarquable pour l’écurie hôte et pour la F1 en général. Jusqu’à ce que le soufflé retombe. Il reste à déterminer si un constructeur serait prêt à flatter les caprices de star de Valentino.

automoto365

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F1 - BMW-Sauber: Continuer sur la lancée

En 2008, BMW-Sauber (135 points marqués) s'est imposée comme la troisième force de la F1, derrière Ferrari (172) et McLaren (151). Une performance qui fait la fierté de Mario Theissen, le patron de l'écurie, mais qui lui donne également envie de voir plus loin, et plus haut.

«En 2009, nous nous battrons pour être champion», a récemment déclaré Klaus Draeger, un membre du conseil d'administration de BMW. «Je ne serais pas aussi affirmatif, a tenu à pondérer Theissen. C'est bien sûr également mon objectif et nous devons avoir des buts clairement définis, mais la F1 n'est pas vraiment une zone de certitudes.»

«BMW a continué à progresser depuis le rachat de Sauber en 2005, a-t-il ajouté. Nous avons gagné des points en 2006, obtenu des podiums en 2007 et gagné une course en 2008 (Robert Kubica au Canada, ndlr). Nous avons transformé la lutte à deux pour le titre en lutte à trois dans la première partie de la saison. Nous n'avions certes pas la voiture la plus rapide, mais la vitesse ne fait pas tout. La fiabilité était notre principal problème en 2007 et nous avons travaillé dessus en 2008, si bien que nous n'avons pas subi un seul abandon sur problème mécanique.» Une progression et une volonté affichée par l'ensemble de l'équipe qui pourraient faire de BMW-Sauber plus qu'un outsider en 2009.

j'espère

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Pantano se sent délaissé par la F1

Rosberg, Hamilton et Glock ont tous trois trouvé chaussure à leur pied au sortir de leur titre GP2, respectivement chez Williams, McLaren Mercedes et Toyota. Giorgio Pantano est le premier champion de l’histoire de la discipline qui ne sera pas promu en Formule 1 dans la foulée de son sacre.



Un Pantano ne pourra jamais rivaliser avec un Rosberg ou un Hamilton – ni même avec un Piquet, qui a pourtant échoué par deux fois dans sa quête d’un titre – dont la carrière était toute tracée. Le palmarès de Giorgio plaide pourtant en sa faveur, « Je défie quiconque d’avoir un CV aussi bon que le mien. J’ai gagné 2 titres mondiaux, 3 Italiens et 3 Européens en karting, j’ai gagné la F3 Allemande, le GP2 et j’ai toujours été aux avant-postes en F3000. Mais je n’ai pas de baquet en F1, est-ce une blague ? » déplore Pantano dans les colonnes d’Autosprint.



Le pilote de Padoue constate avec amertume que le parcours qui a réussi à Glock – une relance de carrière par le GP2 pour mieux revenir en F1 – se termine en cul-de-sac pour lui, « C’est ainsi, si vous n’êtes pas en contact avec les gens, ils ne viennent pas vous chercher. Je me sens délaissé. La seule personne qui a été correcte avec moi est Bernie Ecclestone. Je l’ai appelé il y a quelques jours, et il m’a rappelé dans les 10 minutes qui ont suivi. Les seuls baquets disponibles sont chez Honda et Toro Rosso et Bernie m’a dit que si quelque chose se passait j’en serais le premier informé. »




Et Giorgio de souligner non sans justesse que la génération GP2 qui frappe à la porte de la F1 – et voit ses portes s’ouvrir – possède un palmarès famélique en comparaison du sien, « Je ressens de l’indifférence. Je lis beaucoup de choses sur Senna et Buemi mais qu’ont-ils réussi ? » constate Giorgio, incrédule. Le patronyme du premier nommé est un passeport que Honda ne peut ignorer et le Suisse possède pour parrain un certain taureau rouge, ceci pouvant expliquer cela.



Le facteur aggravant pour Pantano ? Il a déjà eu sa chance en F1, en 2004. Elle fut brève et l’Italien ne bénéficiait pas des meilleures conditions pour exprimer son talent en roulant pour Jordan. Mais la F1 retient souvent le seul fait qu’un pilote a déjà eu l’opportunité de prendre place sur les grilles de départ et que s’il n’a pas pu pérenniser sa présence au plus haut niveau, l’offre qu’il représente contient une malfaçon – lorsque le talent n’est pas en cause, le management, le charisme ou la personnalité peuvent être le maillon faible. « L’argent est devenu la priorité pour conduire, le talent n’existe plus. Au point où j’en suis, un type dans ma situation doit penser qu’être pilote de course n’est pas avantageux et qu’il vaut mieux choisir un autre métier. »



« Je pense que je pourrai rouler 6 ou 7 ans en F1. J’aimerais simplement qu’on me laisse faire un essai. Une fois effectué, l’écurie me dirait si je pourrais ou non être un possible champion du monde. J’aurais l’esprit tranquille ». Une conclusion en forme de prière. Pantano saura rapidement s’il prêche dans le désert…

dommage pr Giorgio, j'aurais bien aimé le revoir personellement

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Eng récompensé par un test F1 avec BMW Sauber

Philipp Eng se verra récompensé de sa victoire l’année dernière dans les Formule BMW World Final par un galop d’essai au volant d’une Formule 1 de l’écurie du constructeur Bavarois. L’essai aura lieu aujourd’hui entre 9h30 et 15h45, sur l’Autódromo Hermanos Rodríguez de Mexico City. Le jeune Autrichien de 18 ans partagera le baquet avec le Brésilien Augusto Farfus, qui se chargera de plusieurs démonstrations durant le week-end. Après Rosberg, Tung, Vettel, Holzer et Vietoris, Eng est le 6è ex pilote BMW à se voir offrir le privilège de rouler dans une F1. « Piloter une F1 a toujours été mon plus grand rêve » reconnaît Eng, « Je me préparai pour cet évènement et essaierai d’être performant. »



Pour Eng, l’opportunité de monter dans une F1 cette semaine servira peut-être de déclic pour la suite de sa carrière en sport automobile. Jusqu’à présent, le pilote Autrichien de 18 ans ne brille pas par son palmarès (11è du championnat F3 Allemagne en 2008, quelques apparitions en demi-teinte en Formule BMW Europe et pour tout meilleur résultat une 3è place au championnat Formule BMW ADAC en 2007). « L’opportunité de piloter une F1 permet aux jeunes pilotes d’avoir une idée d’où pourrait les emmener leur périple » explique Mario Theissen, directeur de BMW Motorsport, « Notre concept de promotion des jeunes talents est une plateforme internationale qui a fait ses preuves. »

c'est clair, surtout qu'il etait dans la red bull junior team en f3000, et que je comprend pas pourquoi ils l'ont lacher, ce que j'avais vu de lui en f3000 etait archi plaisant, un pilote tres rapide, qui partait a la faute certes, mais agreable a regarder.

italie-france meme combat, deux pays en crise, en mal de sponsor, et au finale, ya que trulli qui a un baquet.

oui dommage pr Pantano En plus, comme il le dit, il a un palmarès incroyable
Et c'est le seul à avoir été tjrs ds le Top 6 du GP2 depuis sa création

http://news.caradisiac.com/F1-pour-les-medailles-c-est-vous-qui-voyez-sondage-540

je vous invite à faire le sondage, et à en voir le résultat
Lorsque celui ci sera officiel, je n'hésiterais pas à y aller, pr exprimer ma désapprobation de son idée (cf les médailles)

C'est franchement nul comme idée

oui je trouve aussi

83% contre...

Malheureusement ce n'est pas encore le sondage officiel. Faudra que je le trouve celui là qd il sortira

Ca sera pas difficile...
Il sera mis en valeur par la FIA.

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Irvine met Raikkonen en garde

Eddie Irvine, ancien pilote de la Scuderia Ferrari, a la réputation de ne pas mâcher ses mots. Ces jours-ci, il s'en est pris aux faibles performances de Kimi Raikkonen en 2008...

"Lorsque vous êtes le pilote le mieux payé, vous devez être le meilleur et il ne l'est pas, c'est aussi simple que ça. S'il ne bat pas Massa l'année prochaine, je lui demanderais de partir ou je réduirais fortement son salaire," déclare Irvine à Virgin Media.

"Dans ce sport, si vous êtes performant vous êtes bien payé, et si ce n'est pas le cas, on vous met dehors," ajoute Eddie.

Eddie Irvine avait été l'équipier de Michael Schumacher chez Ferrari entre 1996 et 1999 avant de signer un contrat très lucratif de trois ans avec l'équipe Jaguar devenue aujourd'hui Red Bull.

Je fais confiance à IceMan, il reviendra.

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Heidfeld craint pour ses moustaches

Nick Heidfeld, à l'instar de ses collègues de chez BMW, Kubica et Klien, a commencé à se familiariser, pendant les essais d'intersaison, avec les nouvelles dispositions aérodynamiques imposées par le changement d'une réglementation espérée plus à même de favoriser les manoeuvres de dépassement. Et, par le fait, le spectacle. Or, au bilan de cette première expérience, l'Allemand aux belles rouflaquettes craint plus pour la survie de la moustache de sa belle dans le peloton qu'il ne s'enthousiasme sur cette nouvelle opportunité pour s'en extraire :

« Une fois assis dans la voiture, vous ne voyez pas l'aileron avant » constate Nick. « Les accrochages au départ risquent donc de se multiplier. La première fois que je l'ai vu, je me suis dit qu'il se décrocherait à la moindre aspérité de la piste. Mais il n'en a rien été. » Reste à savoir ce que cela donnera du côté de Monaco.

L'appendice favorisera-t-il pour autant les manœuvres de dépassement ? Heidfeld, à ce stade, évite de se prononcer: « Avec un aileron pareil, nous devrions être moins affectés par les remous aérodynamiques. Mais pour le moment, on n'a pas pu le vérifier. »

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L'Allemand Timo Glock a bouclé l'année dernière sa première saison complète en F1 et il en est plutôt satisfait. Il revient ici sur quelques moments-clés de cette saison, notamment sur ce qui lui est arrivé au Brésil...

"Ce fut une saison plutôt positive - déclare Glock sur les ondes de la radio espagnole Onda Cero Radio - j'ai été très irrégulier en début d'année, mais nous sommes devenus plus forts à partir du Grand Prix du Canada et nous avons ensuite marqué beaucoup de points lors de la seconde partie de la saison. Mon meilleur souvenir a été le podium de Budapest qui a été très important pour moi, étant donné que je bouclais ma première saison en F1."

Le pire moment de la saison de Timo Glock a été le Grand Prix du Brésil, pas la course en elle-même qu'il termina à la sixième place, mais certains commentaires faits après l'arrivée. Selon certains, il aurait en effet "offert" le titre à Lewis Hamilton en le laissant passer à trois virages de l'arrivée...

"Il est clair que le moment le plus pénible de cette saison a eu lieux hors piste, lorsque j'ai vu la réaction de certains après l'arrivée de la dernière course au Brésil. (...) Ce furent des propos très difficiles à entendre," affirme-t-il.


Timo s'est déjà longuement expliqué sur cette fin de course, mais il sent encore et toujours obligé de le faire pour convaincre les plus septiques. Non, il n'a pas laissé passer Hamilton pour lui offrir le titre. Il affirme une fois de plus sur Onda Cero Radio qu'il avait des pneus pour piste sèche alors qu'il pleuvait, et qu'il ne savait absolument pas où se trouvaient Hamilton et Massa dans le classement. Il a seulement fait sa course...

Une version que Felipe Massa semble déjà avoir acceptée, mais Timo tient à le lui dire entre quatre yeux. "Je ne l'ai pas vu depuis le Grand Prix du Brésil et je n'ai donc pas eu l'occasion de lui parler. Heureusement, nous nous verrons lors de la prochaine séance d'essais privés et nous aurons donc une petite conversation là-bas."

Daniel THYS
© CAPSIS International

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Lancement tardif et convalescence, Webber s’interroge sur sa préparation

Mark Webber assure son employeur, les partenaires de Red Bull Racing et le public qu’il ne subira pas les effets de son accident de la circulation, au cours duquel il s’était brisé une jambe, en Novembre dernier. L’Australien est moins affirmatif sur les effets secondaires du lancement tardif de la RB5…



Après la phase d’inquiétude est venue celle de la convalescence. Celle-ci étant sur de bons rails, Mark Webber est passé à l’opération de charme. Victime d’un accident de la circulation alors qu’il participait au ‘Mark Webber Tasmanian Challenge’, l’Australien de 32 ans, une jambe brisée et consolidée par une broche métallique depuis le 22 Novembre 2008, se doit de rassurer son monde et de se rassurer par la même occasion. Webber affirme à qui veut l’entendre que sa blessure n’aura aucune répercussion sur sa préparation pour le championnat du monde de Formule Un 2009 qui ouvrira ses portes chez lui, à Melbourne, le 29 Mars soit 4 mois après son accident.



« J’ai dit à l’écurie de se préparer comme si de rien n’était. Je travaille énormément en piscine pour réveiller les muscles dans cette jambe » explique Webber à l’agence Reuters, « Je vais en apprendre beaucoup lorsque je piloterai cette voiture pour la 1ère fois. Je suis entièrement confiant sur le fait que les choses iront bien mais si je dois adapter certaines petites choses car ma jambe est ankylosée alors je le ferais » poursuit-il au micro de la BBC, « Je ne pense pas que je serai désavantagé par cette fracture et je peux vous assurer que je ne l’utiliserai pas comme une excuse à Melbourne. Je serai sur place et fin prêt. »








Immense soulagement pour Mark Webber, son accident est intervenu l’année où Red Bull Racing a planifié un lancement tardif, le 9 Février, soit près d’un mois après la première présentation de l’année, celle de la Ferrari F60. Si l’écurie de Milton Keynes avait calqué son programme sur celles des autres écuries de pointe, Mark aurait dû faire l’impasse sur les premiers essais de la RB5 et aurait de facto été sérieusement désavantagé par rapport à la concurrence, et notamment par rapport à son nouvel équipier, Sebastian Vettel, qui déboule dans l’arène du taureau rouge avec l’image du futur matador de Webber. « Nous sommes la dernière écurie majeure à lancer notre voiture. Ça m’aie probablement car je serai en meilleure forme au moment où nous ferons rouler l’auto pour la 1ère fois mais ça pourrait ne pas être la meilleure solution » explique Webber, habité d’un affreux soupçon, « Arriveront la 3è et la 4è course, est-ce que nous ne préfèrerons pas avoir accumulé 600 ou 800 km supplémentaires avec l’auto ? Certains diront que oui mais vous pouvez faire beaucoup de choses pour vous assurer que la voiture est fiable. Nous avions une excellente fiabilité mécanique l’année dernière. Nous n’avions essuyé qu’une casse, sur ma voiture, à Singapour. L’autre, en Allemagne, avait été due à un trou dans un radiateur, provoqué par un caillou. Si nous parvenons à maintenir ce niveau de fiabilité, alors la décision de notre directeur technique, Adrian Newey, de retarder le lancement pour mieux développer la voiture pour trouver un gain en performance pourrait être la bonne. »

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F1: Davidson, nouvelle victime collatérale du retrait de Honda ?
Tags : Crise | Formule 1 | Sport Auto
Par Lionel Lucas - le Lundi 12 janvier 2009 | 1 commentaire(s)



Le retrait de Honda va peut-être mettre un terme à l'engagement en Formule 1 de plusieurs centaines de personnes.

Mais pour d'autres, c'est quasiment déjà certain. Anthony Davidson par exemple, qui avait réalisé 21 Grand Prix pour Super Aguri, ne verra certainement pas ses rêves se réaliser.

Selon lui, il était tout près de signer avec Honda:

"J'étais en sérieuses négociations pour non seulement essayer de devenir pilote de course cette année avec l'écurie mais au minimum pour être le troisième pilote.


Les discussions progressaient vraiment bien et le contrat était presque fait quelques semaines avant l'annonce. Je suis maintenant dans une situation très similaire à celle de Jenson Button.

Il ne faut jamais abandonner mais je suis réaliste et j'ai appris cette année et l'année d'avant. Avoir travaillé avec Super Aguri me met dans de bonne dispositions pour maintenant, parce que c'était toujours comme être sur une route cahoteuse."

Si la Formule 1 s'éloigne, d'autres disciplines le motivent:

"J'aime toutes les sortes de courses et je n'y réfléchirai pas à deux fois si on m'offrait un départ ailleurs. J'ai fait Le Mans avant, et c'est un défi qui me plairait de relever à nouveau. Je me suis promis que j'y reviendrai pour le refaire après 2003. Donc je garde définitivement un oeil sur cette course."

Outre la Formule 1, le GP2 semble aussi s'éloigner:

"Le GP2 survit malheureusement grâce au principe du conducteur-payeur. Je pense qu'une année en GP2 coûte à peu près deux millions d'euros. Et je ne pense pas avoir ça sur moi. A ce stade de ma carrière, je pense qu'il faut rechercher un volant de formule 1, sinon il faut changer d'orientation professionnelle."

Au pire des cas, il commentera plus de courses sur la BBC:

"Heureusement j'adore ça !" Comme quoi, on peut garder le moral même en période difficile !

Mais il est vrai qu'Anthony peut nourrir des regrets, il s'était souvent illustré lors d'essais...

Mais c'est là le lot de beaucoup de pilotes talentueux, Sébastien Bourdais en sait quelque chose !

Source: L'équipe

sauf que Bourdais ne s'est jamais illustré hormis aux USA

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Dennis : un homme neutre après Mosley

Pour Ron Dennis, le patron de l'écurie McLaren, le successeur de Max Mosley à la tête de la FIA ne doit en aucun cas être quelqu'un qui a eu des liens étroits avec une écurie de F1. Max Mosley annoncera en juin s'il briguera ou non un nouveau mandat de président.

Dans la dernière édition de F1 Racing, Ron Dennis répondait à la question suivante : seriez-vous intéressé par ce poste ? «Quiconque est en position de diriger une entreprise doit vivre, dormir et respirer cette marque. Je pense qu'il serait impossible pour moi, même si je me considère extrêmement discipliné, d'être complètement impartial vis-à-vis des autres écuries. Et je ne pense pas, franchement, que ce soit possible pour quelqu'un d'autre. Et ce serait inapproprié.»

Fidèle à McLaren, celui qui passera le relais à Martin Whitmarsh le 1er mars a affirmé qu'il ne pourrait plus travailler dans le monde du sport pour une autre entité que McLaren : «Vous savez, si vous me coupiez, je saignerai McLaren et au-delà de ça, l'ADN de McLaren est en moi et je suis dans l'ADN de McLaren.»