Mercedes Grand Prix Petronas

Et surtout il est tout près des 300 GP en carrière.

Citation :

Button participera à la Course des Champions

Jenson Button participera à la prochaine Course des Champions à Pékin, dans le Nid d'oiseau, en novembre prochain, deux jours après le Grand Prix d'Abu Dhabi. Le leader du championnat du monde affrontera notamment Sebastian Vettel ou Michael Schumacher. «C'est une superbe fin de saison de s'amuser comme cela. Le Nid d'oiseau est endroit plutôt incroyable. Cette édition sera encore meilleure que les précédentes», a aisni déclaré le pilote Brawn GP.

En 2008 c'était Loeb qui s'était imposé apres les 2 succès d'affilées d'Ekström...
Button a déja fait cette épreuve 2 fois (en 2007 et 2008).

Citation :

Brawn veut jouer la continuité

Ross Brawn a toujours prôné la continuité lorsqu'il était chez Ferrari et il n'a pas changé maintenant qu'il est patron de sa propre équipe.

Il souhaiterait bien sûr que Jenson Button reste. Il affirme dans les colonnes du Sport Bild qu'il y a aujourd'hui 99% de chances que Button prolonge son contrat avec son équipe.

"Je n'en suis pas sûr à 100%, mais Jenson a été très loyal avec nous lorsque cela ne se passait pas très bien. Il a une grande confiance en nous," affirme Ross Brawn.

Pour contribuer au sauvetage de l'équipe Brawn, ex-Honda, Jenson Button avait fait un gros effort financier en acceptant de réduire sensiblement le salaire auquel il avait droit. Désormais, en tête du Championnat du monde grâce à six victoires en début de saison, Button aimerait que son salaire soit revu à la hausse pour 2010.

"Je lui offrirai bien sûr plus d'argent s'il devient champion du monde," affirme Ross Brawn.

Quant à l'équipier de Jenson Button en 2010, Ross Brawn affirme qu'il serait content que ce soit encore Rubens Barrichello, mais il ajoute que ce n'est pas un sujet qui retient son attention à l'heure actuelle.

L'autre sujet d'importance, c'est la prolongation du contrat avec Mercedes. "J'espère que nous coopérerons avec Mercedes pendant encore de nombreuses années," ajoute Brawn.

Citation :

Ross Brawn en excès de vitesse

Ross Brawn, le patron de l'écurie de F1 Brawn GP, pourrait se voir retirer son permis de conduire en raison d'un excès de vitesse, a indiqué mardi un tribunal britannique.

Ross Brawn, 54 ans, est accusé d'avoir conduit le 30 mai à 160 km/h sur une route limitée à 113 km/h dans le Devon, au sud-ouest de l'Angleterre.

Actuellement à l'étranger pour préparer les prochains Grand Prix en Espagne et en Belgique, il ne s'est pas présenté au tribunal de police de Plymouth (Devon).

Ross Brawn n'a pas plaidé coupable ou non coupable. Une nouvelle audience est prévue le 4 septembre.

Malgré deux derniers Grand Prix décevants, l'écurie Brawn GP reste en tête du Championnat du monde des constructeurs, devant Red Bull et Ferrari.

Le Britannique Jenson Button, le pilote Brawn GP le mieux classé, occupe la tête du Championnat du monde des pilotes. Son coéquipier brésilien Rubens Barrichello est quatrième.

D’après AFP

C'est ballot quand même.

Citation :

Brawn ne doute pas de Schumacher

Patron de l’équipe Brawn GP, Ross Brawn connaît bien Michael Schumacher…

Depuis son arrivée chez Benetton en 1991, pour son deuxième Grand Prix dans la catégorie reine, le pilote allemand a côtoyé celui qui était alors directeur technique de l’écurie managée par Flavio Briatore.

Ross Brawn a ensuite suivi Michael tout au long de sa fabuleuse aventure au sein de la Scuderia Ferrari sous la houlette de Jean Todt.

« Je suis convaincu qu’il sera fort » affirmait Brawn dans les colonnes de la Gazzetta dello Sport. « Je me souviens toujours de la grande course qu'il a faite au Brésil en 2006. »

« Bien sûr, il est évident qu'il va devoir se familiarise avec la voiture, mais je suis sûr que s'il ne gagne pas une des courses restantes cette saison, ça ne sera pas de sa faute, mais parce que Ferrari n'est pas en position de gagner » déclarait-il.

« Pour lui, après le terrible accident de Massa, c'était naturel de revenir étant donné les besoins de son ancienne équipe.
A mon avis il y a aussi un autre aspect à considérer : le fait que ceci n’est que pour un temps limité » ajoutait le patron de l’équipe Brawn GP. « Michael revient avec sa détermination et son sérieux habituels, mais par-dessus tout avec l'intention de s'amuser. Personnellement, j'admets que je suis curieux et impatient de le voir au travail ! »

« La F1 n'a pas beaucoup changé sur le plan du pilotage. La plus grande chose à laquelle Michael va faire face, c’est l’utilisation des pneus lisses. Mais ce n'est pas un désavantage parce que ces pneus rendent le comportement de la voiture plus prévisible. C'est vrai aussi qu’il ne connaît pas le circuit de Valencia, mais le simulateur l'aura aidé » concluait Brawn.

J-P.K
© CAPSIS International

Citation :

La vitesse de Brawn GP dilate avec la chaleur

Brawn GP a adapté la loi physique de la dilatation des métaux dans la chaleur à la vélocité de son package. Le thermomètre grimpant jusqu’à 50°C au sol, cet après-midi à Valence, la BGP 001 n’a eu aucun mal à retrouver un rang en rapport avec son début de saison tonitruant, elle qui était lourdement tombée de son piédestal en Allemagne et en Hongrie.



En Espagne, Button et Barrichello avaient le même programme d’essais et ils s’en sont acquittés avec le même bonheur et la même efficacité. Brawn GP pourrait retrouver le chemin du podium à Valence et si elle devait se confirmer, la redistribution des cartes – Alonso en outsider de génie, McLaren Mercedes en regain de forme – pourrait jouer en sa faveur sur un circuit où le taureau rouge se cherche.








Jenson Button (4è, 1:43.074 / 2è, 1:40.178) :

Il est encourageant de voir que l’auto est de nouveau rapide. Notre programme s’est concentré sur la vérification de réglages et sur des évaluations nécessaires pour confirmer que le travail effectué à l’usine est allé dans la bonne direction. Il faut encore peaufiner le set-up car je ne suis pas pleinement satisfait par l’équilibre de l’auto mais l’un dans l’autre la voiture semble assez rapide.



Rubens Barrichello (1er, 1:42.460 / 3è, 1:40.209)

Les 2 séances se sont très bien passées et nous avons abattu une grande quantité de travail des 2 côtés du garage. Je suis content des données recueillies et de la manière donc l’auto a évolué tout au long de la journée. Si nous pouvions confirmer la tendance, nous aurions tout pour passer un bon week-end.

Citation :

Un journaliste énerve Jenson Button

Alors qu'il rencontrait les journalistes des médias britanniques, Jenson Button a perdu son sang-froid. Il faut dire qu'un journaliste lui a posé une question qui en aurait énervé plus d'un...

Ce journaliste lui a en effet demandé ce qu'il pense des gens qui disent qu'il n'a pas vraiment envie de remporter le titre mondial cette année. A la fin de cette question, le sang de Button n'a fait qu'un tour.

"Je ne pense pas que les gens puissent dire cela sérieusement. Qui aurait pu dire une chose pareille ? Jenson a-t-il envie de remporter le titre ? C'est une question un peu dingue, non ? Que croyez-vous que je fasse ici ?" s'interroge un Button qui n'apprécie pas du tout cette critique déguisée en question.

Le journaliste lui explique alors que c'est son envie de gagner qui est en doute.
"Ce n'est pas ce que je devais dire, car il ne s'agissait pas d'une question, n'est-ce pas ? En réalité, ce n'est pas une question, c'est impossible ! Est-ce que je veux remporter le titre ? Non bien sûr, je veux terminer deuxième ou troisième," ajoute un Button très ironique.

"Ce que j'ai envie de faire maintenant, c'est de me lever et partir. Passez tous un bon week-end et nous en reparlerons plus tard, car je devine que vous avez un tas de questions idiotes à me poser. Ce n'est pas la partie de mon boulot à laquelle j'ai trop envie de penser pour le moment. Je veux me concentrer sur mon pilotage," ajoute-t-il.

Daniel THYS
© CAPSIS International

Enfin un journaliste qui sort un pilote de ses gons, ça évite le belle langue de bois qu'utilise les pilotes de F1.

Citation :

F1: Rosberg chez Brawn GP en 2010 ?
Tags : Brawn GP | Formule 1 | Nico Rosberg | Sport Auto
Par Lionel Lucas - le Vendredi 04 septembre 2009 | 11 commentaire(s)



Hier, nous vous annoncions que Nico Hulkenberg pourrait débarquer l'an prochain chez Williams. Si du coté de Nakajima, la fin de l'aventure semble proche, pour Nico Rosberg, l'histoire est toute autre ! Certaines rumeurs commencent à le voir chez Brawn GP l'an prochain.

Le jeune allemand ne veut toutefois pas s'engager d'ores et déjà:

"C'est bien que je puisse aller où je veux aller. Mais je n'ai encore rien décidé."

Effectivement, le talentueux Rosberg intéresse McLaren, Brawn GP et Williams bien entendu pour la saison 2010. Un bon choix d'écurie pourrait le propulser dans les plus hautes places du classement. En tout cas, le père de Lewis Hamilton n'a pas été emballé par une éventuelle arrivée de Rosberg chez McLaren...

Pensez-vous que Rosberg a l'étoffe d'un champion du monde ?

Source: F1central.com

Citation :

F1 : Mercedes, de McLaren à Brawn GP d'ici 2012
Tags : Brawn GP | Formule 1 | McLaren | Mercedes | Nico Rosberg | Rumeur | Sport Auto
Par Patrick Garcia - le Jeudi 10 septembre 2009 | 1 commentaire(s)



Outre le fait que Renault est embarqué dans une histoire qui "s'enlaidit" d'heures en heures et que les preuves de la tricherie semblent assez nombreuses pour accréditer l'accusation, une autre histoire revient à la surface ces derniers jours. Cela concerne Mercedes et le divorce supposé d'avec McLaren dont la marque détient 40%.

La rumeur a fait le retour en Une en provenance directe de la Suisse, ce qui n'est pas banal. Selon le magazine Blick, le contrat liant Mercedes et Mercedes terminera fin 2011 et dans ce laps de temps, la firme à l'étoile aura acheté 75% des parts de Brawn GP.

Dans cette opération, Mercedes serait accompagné de ses partenaires arabes d'Abu Dhabi qui détiennent déjà une part importante du constructeur allemand. Ainsi, dès l'an prochain, les monoplaces de Brackley devraient virer du blanc vers le gris tandis qu'un logo étoilé de bonne taille fera son apparition sur la carrosserie.

Le journaliste suisse indique également que les rumeurs de rapprochement de Nico Rosberg avec McLaren sont une mauvaise interprétation car, en fait, le pilote de nationalité allemande devrait intégrer Brawn GP et prendre les commandes d'une des nouvelles monoplaces supportée par Mercedes. Rosberg comme Norbert Haug ont indiqué être respectivement désireux l'un de l'autre sans aller plus loin.

Quant à l'annonce des fournitures moteur Mercedes qui devait être faite avant Monza (on pensait jusque là que Mercedes allait motoriser Red Bull), elle serait tout à coup moins urgente et vraisemblablement repoussée. Rappelons que McLaren qui vient de sortir sa première sportive de route depuis la F1 n'utilise pas un moteur Mercedes contrairement à ce que tout le monde pensait.

Citation :

F1: Button pourrait quitter Brawn GP en 2010 !
Tags : Brawn GP | Formule 1 | Jenson Button | Sport Auto
Par Lionel Lucas - le Mardi 15 septembre 2009 | 5 commentaire(s)



On s'en souvient, Jenson Button avait accepté de réduire son salaire de manière conséquente pour assurer son futur et celui de son écurie en F1.

Aujourd'hui, il semblerait que cette question revienne sur la table, et que le britannique souhaite récupérer l'intégralité du salaire qu'il aurait initialement du toucher... Ce qui a priori n'est pas du goût de Ross Brawn. D'un autre côté, Button se plaint aussi du manque du fait que Barrichello ne partage pas assez d'informations !

Ces querelles devraient s'amplifier au fur et à mesure que nous approchons de la fin du championnat. Car à quelques courses de la fin de saison, le titre devrait se jouer entre les 2 pilotes. Pas étonnant que cela crée des tensions !

Notons aussi que Rosberg aurait trouvé un accord viable avec Ross Brawn pour la saison 2010.

La fin de saison sera certainement épique, mais pourrait aussi être la dernière pour Barrichello... quand à Button, quel avenir aurait-il s'il quittait Brawn GP ?

Source: F1central.fr

Oula t'est à fond dans les news là.

bah plus personne n'en postait

normal vino t'es notre sauveur . rosberg chez brawn ca me ferait bien plaisir ca car de le voir a mclaren . concernant button, qu'il arrete de chouiner la, ils vont jouer le titre tout les deux et il pense peut etre que rubinho va lui montrer comment aller plus vite que lui...

Citation :

L’écurie Brawn GP a communiqué un nouveau partenariat pour le Grand Prix de Singapour 2009, la semaine prochaine. L’équipe sera ainsi sponsorisée durant les trois jours par Canon, en plus de ses sponsors « habituels ».

Brawn GP a affirmé avoir assuré son avenir financier pour un minimum de trois saisons de F1 et pourtant, l’équipe n’est pas si sponsorisé qu’on pourrait l’imaginer. Virgin est le gros sponsor de l’équipe. Et même si trois autres partenariats ont déjà été annoncé dans le passé, il reste beaucoup d’espace libre sur la monoplace de Button et de Barrichello. A l’occasion du Grand Prix de Singapour, course nocturne, Canon bouchera donc les trous.

La société japonaise a commencé à sponsoriser la F1 dès 1985 avec plus ou moins d’implication depuis cette date. Pour l’occasion, la peinture devrait être spéciale sur la Brawn GP pour montrer « le potentiel de l’entreprise. »

Ross Brawn, le directeur de l’équipe s’est félicité de ce partenariat : « Je suis très heureux d’accueillir Canon Singapore pour la prochaine course. Nous allons travailler ensemble quelques temps et leur permettre de démontrer leur potentiel dans la photographie et l’imagerie à travers la formidable vitrine qu’est la Formule 1. »

Melvyn Ho, vice-président de Canon Singapore ajoute : « Le grand prix de Singapour est l’une des courses qui a le plus de visibilité à travers le monde. Nous voulons en profiter pour montrer notre savoir faire en tant que leader dans l’imagerie. Nous sommes d’autant plus fiers de travailler avec le leader du championnat. Nous allons étudier d’autres opportunités pour l’avenir. »

Le Marketing Formula 1 est de plus en plus évolutif. Les emplacements se louent grands prix par grands prix, étudiants les offres aux cas par cas à partir du moment où un sponsor principal et annuel peut assurer les arrières de l’équipe sur le long terme. Pour preuve, Virgin a déjà passé un contrat similaire avec Brawn GP, puisque Richards Branson a acheté la quasi totalité de l’espace publicitaire de la monoplace, qu’il revend à ses filiales selon les grands prix et les cibles.

Citation :

Brawn veut un changement de règlementation radical

Le 59è championnat du monde de Formule Un devait être une véritable révolution en matière de spectacle. Le Groupe de Travail Technique et sa cellule spécialement dévolue aux dépassements, mis sur pied par la Fédération Internationale de l’Automobile en association avec certains des meilleurs ingénieurs du plateau, espéraient monts et merveille du cocktail comprenant une réduction drastique des appuis aérodynamiques (50% à l’origine), le retour des pneus slicks, l’autorisation de disposer de pièces aérodynamiques mobiles et l’introduction du KERS.



« Si l’effet obtenu n’est pas celui escompté, alors ce sera la fin des groupes d’experts » avait prévenu Max Mosley lorsque les premiers indices d’un échec patent se faisaient jour. Globalement, il y a bien eu échec : les dépassements ne sont pas plus aisés que par le passé et les seules phases généreuses en manœuvre (les départs) ont été permises grâce à un artifice, une F1 à 2 vitesses avec d’un côté les adeptes du KERS, de l’autre ses opposants.



Paddy Lowe (McLaren), Pat Symonds (Renault) et Rory Byrne (Ferrari) n’avaient pas tablé sur le fait que le diffuseur double compenserait immédiatement 15 à 20% de la perte des appuis. Ironiquement, c’est le chantre du diffuseur double qui monte aujourd’hui au créneau pour mettre en garde contre les dérives des règlementations techniques 2009, et plus particulièrement contre leur déséquilibre. « Je pense que le ratio entre le grip généré par les pneus et celui venant de l’aérodynamique n’est toujours pas le bon. Je pense que nous sommes allés trop loin en termes de grip aérodynamique, et pas assez en ce qui concerne les pneus » estime Ross Brawn, « Il nous faudrait beaucoup de grip mécanique et réduire l’adhérence aérodynamique, alors nous aurions des voitures qui peuvent se battre l’une contre l’autre plus efficacement. Ces voitures sont certainement meilleures que celles que nous avions l’année dernière ! »



Le témoignage du patron de l’écurie qui sera probablement sacrée championne du monde au Brésil (elle n’est qu’à un demi-point du bonheur) fait autorité. Il est d’autant plus symbolique qu’il émane du meilleur exploitant du diffuseur double et que son propos remet tacitement en cause son existence. « Nos voitures dépendent encore énormément des performances de l’aérodynamique et le fait que ce soit le cas rend très compliqué la conception d’un package qui permet de suivre de près un autre. »

En voilà un qui a compris qu'il était très bon dans les refontes de réglement

Citation :

Le gouvernement a aidé Brawn GP à survivre

Le Gouvernement Britannique s’est porté au chevet de l’écurie de Formule 1 basée à Brackley une fois la passation de pouvoir effectuée entre Honda et Ross Brawn. L’information, divulguée par l’un des membres du noyau dur de l’écurie, le directeur sportif Nick Fry, souligne le rôle prépondérant joué par les plus hautes autorités de l’état et notamment par le Ministre du Commerce et ancien député Européen au Commerce, Peter Mandelson. Ce fidèle de Tony Blair a été rappelé dans le gouvernement de Gordo Brawn à la fin de l’année 2008 et a immédiatement usé de son influence pour infléchir la position de Honda et rejeter les autres candidatures possibles au rachat de Honda Racing.



« Ça ne sera pas bien perçu dans certains quartiers car on aime beaucoup taper sur le gouvernement Britannique » prévient Nick Fry en préambule. En faisant référence aux piques lancées par Bernie Ecclestone à l’encontre du gouvernement Anglais à la suite de son refus d’aider Silverstone à se moderniser ? « 0,002% du budget accordé aux Jeux Olympiques aurait suffi » avait tempêté le patron de la FOM à l’époque.



« Mais je pense qu’il faut être juste et dire que notre survie a reçue un énorme soutien e la part du gouvernement, et plus particulièrement de Peter Mandelson et du Ministère du Commerce » poursuit Fry. Un exemple de lobbying qui restera comme un modèle de réussite lorsque Brawn GP inscrira son nom au palmarès des deux championnats du monde de Formule Un, à l’issue de sa première année d’existence !

Bonne pioche de la part du gouvernement !

Citation :

La F1 n’avait pas confiance en Button

Il a gagné 6 Grand-Prix sur 16 – une réussite de 37% –, il a conquis 4 pole positions et 2 meilleurs tours en course. Jenson Button est le 31è champion du monde de l’histoire de la Formule 1. En 2008, son compatriote Lewis Hamilton avait décroché la timbale dorée avec un succès de moins. Un an auparavant, 6 victoires avaient permis à Räikkönen de devenir le 1er champion de la nouvelle ère Ferrari, celle où Michael Schumacher ne figure plus qu’en toile de fond et non sur le devant de la scène. Si le titre mondial avait été décerné au nombre de victoires (médailles) – une réglementation que Bernie Ecclestone et la FIA ont tenté de faire passer au forceps et sans concertation –, Button aurait trôné sur le toit de la F1 dès le drapeau à damier de Singapour, à 3 épreuves du terme de la saison.



En 2009 et avant la finale d’Abou Dhabi, Button a gagné 2 fois plus de courses que Vettel, 3 fois plus que Webber, Barrichello et Hamilton, 6 fois plus que Räikkönen. Sur le plan comptable, Jenson Button mérite amplement son titre. Pourtant, le microcosme de la F1 et une certaine presse se sont posés des questions. Les articles contenant le mot « mérite » suivi d’un point d’interrogation ont plu comme les hallebardes à Interlagos. Le fait de se poser la question est suffisamment injurieux pour un prétendant au titre qui a fait main basse sur la première moitié du championnat. Qui s’était posé la question pour Hamilton, Räikkönen ou Alonso ? L’idée n’avait même pas effleuré les esprits. Button a été victime de son succès : 6 victoires en 7 courses en début d’année, puis un seul podium lors des 9 épreuves suivantes. Sa série victorieuse appelait d’autres succès et sur ce point il a déçu. Au point que ses triomphes de début d’année sont passés à l’as.



La dernière impression laissée est toujours la plus prégnante. En 1979, Alan Jones avait régné sur la fin du championnat : 4 victoires lors des 6 dernières courses. A l’époque, personne ne se souciait du fait qu’il avait franchi la ligne d’arrivée dans les points à 2 reprises seulement lors des 9 premiers Grand-Prix. Jones était le héros de la fin d’année et il méritait le titre tout autant que Jody Scheckter. En 1979 comme en 2009, les rôles se sont inversés au sein de l’écurie en question (Williams en 1979, Brawn GP en 2009). Carlos Reutemann avait collectionné 4 podiums en début d’année pendant que Jones se cherchait. Puis l’Argentin avait fait chou blanc entre le 8è et le 15è Grand-Prix alors qu’Alan Jones se posait comme le pilote le plus véloce du moment. 30 ans plus tard, Button a endossé la combinaison du lièvre (Reutemann) et Barrichello celle de la tortue (Jones). A la différence près que l’Anglais a su conserver une avance nécessaire et suffisante pour être couronné (ce que Reutemann n’avait pu faire) avant la finale du championnat.



Au lendemain du sacre de Button, la Grande-Bretagne ne tarit plus d’éloges sur Jenson. Les questions d’hier ont laissé la place aux certitudes d’aujourd’hui. Vu de l’extérieur, Button doit aussi être perçu comme un grand pilote. L’esthète de la trajectoire a trouvé sa reconnaissance et même s’il la doit en partie à la FIA – qui a redistribué les cartes techniques en adoubant le double diffuseur – il a aussi et surtout su répondre présent lorsqu’il le fallait. Imaginez un seul instant que le champion 2009 soit Français, avec toutes ses hésitations techniques et humaines et avec tous ses travers. Un successeur à Alain Prost, dont le dernier titre remonte à 16 ans ? La France signerait des deux mains !

Et la France n'en ferait pas toute une histoire

Petite passage sur Alan Jones, un dieu

Citation :

Interview à cœur ouvert de Jenson Button

La consécration mondiale, et la manière dont il est allé la chercher depuis la 14è place de la grille de départ, à totalement décomplexé Jenson Button. Introverti depuis quelques semaines, le Britannique a laissé sauter le couvercle de la marmite pour se débarrasser de la pression et laisser éclater sa joie. Volubile devant la presse réunie autour de lui, l’Anglais n’a pas hésité à tomber dans l’excès en qualifiant le GP du Brésil de « La plus belle course que j’ai faite de toute ma vie ! » avant de tenter de démêler ses sentiments, « D’accord, c’est en partie à cause de l’émotion qui me submerge, mais je savais ce que j’avais à faire et je l’ai fait. C’est pourquoi je peux m’asseoir ici devant vous en étant champion du monde.



Pouvez-vous décrire vos sentiments ?

J’ai l’impression de courir encore. Tout s’est bousculé depuis que je suis sorti de la voiture. C’est plus un soulagement qu’autre chose. Je me sens submergé par la joie, tous les bons et les mauvais souvenirs ont ressurgi dans mon esprit, pas seulement ceux de cette année mais des années précédentes. Cette année surtout bien sûr car le début de saison était fabuleux puis les dernières courses ont été stressantes car la vitesse nous avait fui. Quel que soit le problème en qualifications, nous avons eu du mal. Ça m’a compliqué les choses car mentalement ça fait mal lorsque vous ne parvenez pas à tirer la quintessence de la voiture ; je lisais également les journaux et il y avait des commentaires négatifs. C’est dur lorsque vous pensez être au summum de votre forme. Mais il y a également eu des choses positives écrites sur nous cette année.



Etait-ce frustrant de suivre Kobayashi pendant si longtemps ?

Ce type est fou ! J’imagine que c’est à mettre sur le compte de l’inexpérience, mais il bouge énormément au freinage ce qui rend les choses très compliquées comme Nakajima a pu s’en rendre compte. Tous les autres étaient rudes mais corrects, lui il était un peu fou et il se fera remettre à sa place dorénavant. Je devais me battre avec l’auto dans les 3 derniers virages pour me rapprocher suffisamment et avoir une chance d’attaquer un concurrent dans le 1er virage, donc je devais freiner très tard car je n’étais jamais collé dans sa boîte. Vous pouvez penser que c’était risqué mais je savais que je devais prendre des points à Rubens, ou me rapprocher de lui. Il était 2è, je savais donc que je devais être 5è, c’était mon but. C’était probablement la plus belle course que j’ai faite ; je ne l’ai pas gagnée, mais j’ai fait tout ce que je pouvais. J’ai gagné le championnat avant la dernière course et c’est un sentiment très agréable. Je sais que ça m’a pris plus de temps que ce que les gens pensaient, mais c’est la F1, il y a des pilotes stupéfiants dans ce sport. Il y a de très bonnes écuries également et nous avons vu tout au long de l’année que beaucoup de voitures différentes pouvaient se battre pour la victoire. Ça a rendu les choses difficiles pour chacun.


C’était assez équilibré jusqu’au second ravitaillement de Rubens…

Oui, il était 4è ou 3è et j’étais 6è à ce moment-là. Je savais que tous ce dont Rubens avait besoin c’était de marquer 4 points de plus que moi. Je savais que je pouvais rester 6è, mon rythme était assez bon. Mais je ne voulais pas laisser Vettel passer car j’ai l’instinct du combattant. Il a pu me passer lorsque je me suis retrouvé bloqué derrière une autre voiture, mais la 5è place était tout ce que je pouvais obtenir et elle était suffisante.



Vous avez changé d’approche lors des dernières courses ; qu’est-ce qui a changé ?

Je n’ai rien changé lors des dernières courses, j’ai attaqué lorsque j’avais la vitesse pour le fait, lorsque la piste était dégagée devant moi. Mais je n’ai pas réussi à maîtriser les qualifications lors des dernières courses et je ne sais pas pourquoi. Il faudra s’en préoccuper pour la dernière course car je ne veux pas être battu alors que je suis champion du monde. C’était peut-être le stress, peut-être n’avons-nous pas réussi à tout mettre en place. Je pense que c’est plutôt la dernière hypothèse la bonne.



En vous réveillant le jour de la course, pensiez-vous que vous pourriez être champion aujourd’hui ?

En fait oui. Je ne savais pas ce que Rubens pourrait faire mais je savais que je pouvais viser la 5è ou la 6è place. Nous avons analysé notre stratégie et j’ai dit que la 5è place était à ma portée, j’ai fait tout ce que je pouvais et je suis allé au lit très heureux car je pense qu’après les qualifications j’étais vraiment mal. Je me suis assis dans la pièce qui m’est réservée après les Q2 et j’ai repensé aux qualifications. Elles auraient dû bien se passer car il pleuvait et j’adore la pluie. Mais le pire scénario m’est tombé dessus : mon équipier était en pole… je me sentais mal, j’étais malade, réellement. Puis je suis allé voir l’équipe, tout le monde était positif. Je suis reparti entouré des miens, je me suis désaltéré et je savais que j’étais prêt pour l’action. J’étais optimiste car c’est toujours difficile d’être celui qui se bat pour le titre sur ses terres.



Etes- vous en position de dire si vous défendrez votre titre avec Brawn GP ?

J’espère être en F1, ce serait dommage si ça n’était pas le cas. Mais je n’ai encore rien décidé. Peut-être que je courrai dans une autre discipline ou que je ferai autre chose. J’ai gagné le championnat du monde ! Non, je veux être là l’année prochaine et je veux être dans une équipe qui peut se battre pour la victoire. Brawn GP peut le faire. Ces gars ne sont pas des héros d’un jour, ils sont très talentueux. Nous ne sommes peut-être pas une grosse écurie comme d’autres mais ça nous sera bénéfique l’année prochaine car les équipe doivent réduire de taille et nous avons le bon nombre de personnes pour l’année prochaine. Nous sommes bien placés car nous avons travaillé sur la voiture de cette année mais également sur la suivante. Brawn GP ne s’arrêtera pas là. Mais je n’ai pas encore parlé sérieusement avec l’équipe au sujet de l’année prochaine. Nous voulions en terminer avec ces championnats Conducteurs et Constructeurs avant toute chose. On en parlera lorsque je n’aurai pu la gueule de bois !








Avez-vous craint que ce ne soit pas le bon jour, que vous n’y arriveriez pas aujourd’hui ?

Je pense que ma 2è année de F1 a été la plus dure. Après une bonne première année, je ne l’ai pas vraiment appréciée. C’était très agréable chez Williams et j’y ai obtenu de bons résultats, mais je n’ai pas travaillé assez. J’étais trop jeune et trop inexpérimenté. Les 2è et 3è années ont été très dures, surtout la 2è. C’est là que j’ai compris que la vitesse pure ne suffisait pas et qu’elle ne suffit pas pour gagner des courses. Il faut travailler sur divers aspects et la F1 doit devenir votre vie. Je ne savais pas ce que ma carrière deviendrait. Les seuls instants comparables sont ceux de l’année dernière. La saison avait été douloureuse, nous ne pouvions pas extraire la moindre performance de l’auto mais je savais que je pouvais travailler pour y parvenir. Puis l’hiver a été rude. Ne soyez pas désolé pour moi car tout s’est bien passé, mais l’hiver a été rude ! C’était encore plus dur pour l’écurie que pour moi. Je ne savais pas si je courrai en F1 cette année. J’avais quelques options mais rien qui me permettait de poursuivre ma carrière, alors j’ai pensé à prendre une année sabbatique. Mais le danger est d’être oublié car il y a beaucoup de pilotes et je suis content d’avoir contourné la difficulté et d’être sur la grille de départ en Australie. C’est un beau conte de fée.



Quelles sont les personnes qui vous ont le plus aidé à arriver là ?

La liste est très longue. Mon père bien évidemment, il m’a soutenu durant toute ma vie, tout comme ma famille. Au niveau de la course, toute l’équipe. Lorsque vous passez un hiver comme je l’ai fait, ce n’est pas une mince affaire, je me suis rapproché de chacun. Je suis avec cette équipe depuis 2003, et nous avons été de plus en plus proches. Nous avons traversé des étapes difficiles et il n’était pas évident pour l’écurie de rester optimiste lorsque nous avions des mauvais résultats. Mais l’équipe s’est remise en ordre de marche et elle a construit une excellente voiture. L’auto était très bonne cette année mais c’est l’effort collectif qui a tout fait.



Vous êtes maintenant plus détendu et vous pouvez aller à Abou Dhabi et gagner…

Demandez moi avant la course, parler d’Abou Dhabi ne m’intéresse pas pour le moment, je viens de devenir champion du monde. C’est tout ce dont je veux parler ce soir. Poseriez-vous la même question si j’avais fait un mauvais début de saison et que j’avais gagné les 6 dernières courses ? Non ! Ce fut une bonne année, les temps ont été durs et j’ai raté mes qualifications plusieurs fois mais j’ai pu me rattraper et c’est le plus important.



Qu’est-ce que ça fait d’être au sommet après un hiver aussi difficile ?

L’équipe n’existerait pas sans Ross. Elle porte son nom et c’est beaucoup de pression pour un seul homme. Pour lui, gagner les 2 championnats est exceptionnel. Il mérite une médaille. Il m’a beaucoup aide lors des dernières courses. Il a gagné beaucoup de championnats et il a également vécu des saisons délicates. Il a tout vécu, a été dans toutes les positions, il sait que gagner un championnat n’est pas facile et que vous devez passer par des moments difficiles. Je ne pense pas qu’on y serait arrivé sans lui.



Mark Webber a déclaré que vous alliez bien dormir car vous avez tout bétonné lors des dernières courses.

Je n’ai pas apprécié les dernières semaines, elles ont été difficile même si j’étais en tête. Même lorsque vous êtes performant et que vous menez le championnat, c’est stressant. Vous allez au lit en pendant aux qualifications et aux courses. Et vous vous réveillez en y réfléchissant encore. Ici j’étais seul, sans Jessica. J’ai demandé aux gars s’ils pouvaient rester avec moi dans ma chambre car je savais ce que serait dur, mais ils ne l’ont pas fait ! C’est bizarre car j’ai rêvé que les qualifications se passeraient mal et ça a été le cas et j’ai également rêvé la nuit dernière que je gagnerai le titre. Il y a peut-être une part de vrai dans les rêves…

Après ce petit hommage à Jenson Button, parlons voiture.

J'aimerais revenir sur le fait que la perf des Brawn a légèrement chuté en fin d'année. J'apporte mon opinion personnel sur ce fait.
Brawn ayant une avance magnifique au chpt, le principal étant de bien gérer, Brawn n'a t il pas relaché un peu le travail sur la version 09, afin de privilégier le model 2010, pr éviter toute mésaventure comme Ferrari et McLaren cette année ? Ca me semble fort probable, d'autant plus que il y aura quelques petites modifs ds le réglement de l'an prochain

vino_93 a écrit:

Et la France n'en ferait pas toute une histoire

Hein ?!

Et bah, actuellement, faut voir certains médias français, et surtout fan de F1... c'est pitoyable la manière dont on le traite.
Si Button était français, ça ferait longtemps qu'on lui aurait dressé une statut, réservé les champs élysées pr l'aduler, et autres choses du genre

Sauf que ca c'est pas prêt d'arriver

Aucun français ne sera Champion du Monde avant 2050.

Roh, n'exagérons rien. J'ai de bons espoirs pr Bianchi, s'il arrive dans une belle équipe assez rapidement.
Pr Grosjean, ça risque d'être dur désormais ...
Et puis yen a d'autres derrière
Il ne faut pas perdre espoir, même s'il est vrai que derrière Bianchi, c'est peut être un peu plus creu ... ya tjrs quelques bons jeunes, mais un vrai gros espoir, un vrai gros potentiel... bof bof. Peut être Tristan Vauthier.

vino_93 a écrit:

Roh, n'exagérons rien. J'ai de bons espoirs pr Bianchi, s'il arrive dans une belle équipe assez rapidement.
Pr Grosjean, ça risque d'être dur désormais ...
Et puis yen a d'autres derrière
Il ne faut pas perdre espoir, même s'il est vrai que derrière Bianchi, c'est peut être un peu plus creu ... ya tjrs quelques bons jeunes, mais un vrai gros espoir, un vrai gros potentiel... bof bof. Peut être Tristan Vauthier.

Vauthier oui ou alors Jim Pla.
Bianchi ça va être comme Grosjean...

Jim Pla, oui il est pas mauvais ... de là à dire que c'est un futur grand, c'est pas un pas que je n'ose pas encore franchir.

Bianchi, j'espère pas. Avec Todt comme manager, je pense qu'il saura trouver le volant qu'il faut. Le pire pr Grosjean, c'est juste le chgt de direction chez Renault F1. Sans quoi il était encore sans doute là l'an prochain.
Pr Bianchi, son caractère est son principal ennemi ... on en a eut d'ailleurs un léger aperçu en F3 cette année, lors de l'embrouille avec Coletti.

Que viens faire Reutemann dans le passage sur Jones ?

Il n'a jamais joué le titre cette année et en plus le coéquipier de Jones, c'était Regazzoni. Reutemann était chez Lotus. J'ai du mal à saisir la pertinence de la comparaison entre Button et Reutemann.

Edit : bon en fait, après une nouvelle relecture (c'est dur le matin ) l'auteur mélange l'équipe de 1979 et celle de 1980
Mais s'il est vrai que Reutemann a fait un début de saison terrible, c'était alors sur Lotus ... Et Regazzoni n'a rien fait de son début de saison.

Bref, l'auteur aurait mieux fait de se taire, ou alors de se limiter à parler de Jones / Scheckter.