Scuderia Ferrari Marlboro

Je sais bien, mais comment veux-tu en conclure une quelquonque estimation du potentiel et des performances de la F10 ?

juste une mauvaise impression, rien de plus
Ca me donne l'impression de copié collé, qui fait que la Ferrari ne sera pas au top, ou du moins pas avec les meilleurs. je peux très bien me tromper, c'est juste une impression Mais pour une voiture sur laquelle on bosse depuis des mois chez Ferrari à 100%... je m'attendais à un truc plus révolutionnaire. Peut être qu'à l'intérieur ça l'est. On verra bien de toute façon.

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Grande émotion pour Alonso

Après Minardi, Renault et McLaren, Fernando Alonso a participé à sa première présentation habillé de sa nouvelle combinaison Ferrari. L’Espagnol vise le titre mondial avec la Scuderia.
« C’est la première fois pour moi, ma première présentation pour Ferrari. Je ressens une grande émotion », lance le double Champion du Monde pour débuter son intervention.

« Je veux remercier toute l’équipe qui a énormément travaillé ces derniers mois pour créer cette nouvelle voiture. Merci également à nos partenaires et sponsors qui partagent notre passion », continue-t-il.

En arrivant chez Ferrari, le Champion du Monde 2005 et 2006 n’a qu’une idée en tête : remporter un troisième titre : « Nous sommes prêts à relever ce défi et à nous donner à 100%. Avec Felipe, j’espère rendre heureux les supporters de Ferrari en gagnant le championnat ! »

Sortez les violons !

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Ferrari a "deux nouveaux pilotes"

Seulement quatrième du dernier championnat avec une seule victoire, la Scuderia Ferrari veut à nouveau se battre pour le titre mondial. Pour cela, Stefano Domenicali compte sur « deux nouveaux » pilotes. Fernando Alonso et une nouvelle version de Felipe Massa.
« Oui, nous avons deux nouveaux pilotes », annonce le patron de la Scuderia. Fernando nous rejoint avec déjà deux titres mondiaux et nous désirons qu’il en remporte un troisième. Il est déjà l’un des grands champions de la discipline. »

« Felipe aussi, car c’est un nouveau Felipe », ajoute l’Italien. « Après sa difficile saison marquée par son accident en Hongrie, Felipe a l’opportunité de montrer son talent. Il va pouvoir reprendre sa route là où le destin l'avait interrompue en Hongrie. »

Felipe Massa prendra le volant de la F10 cet après-midi à Fiorano et débutera les essais à Valencia dès lundi.

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Ferrari F10 : parole aux ingénieurs

Aldo Costa, directeur technique, Luca Marmorini, patron des départements moteur et électronique et Nicholas Tombazis, designer en chef de la Ferrari F10, présentent leur dernière réalisation…
Aldo Costa, directeur technique : « La F10 est le résultat d’un intense travail qui a débuté dès le printemps 2009. La décision stratégique fut de nous concentrer sur le développement d’une nouvelle monoplace. Le double diffuseur a révolutionné la conception du projet. Notre principal atout est que la monoplace, le moteur et la transmission ont été conçus sous le même toit. Nous avons apprécié ce potentiel chaque jour et nous voulons encore l’exploiter autant que possible. Le F10 représente un grand pas en avant en matière de compétitivité. »

Luca Marmorini, patron des départements moteur et électronique : « La saison 2010 représente un nouveau défi pour les ingénieurs moteur. L’interdiction des ravitaillements en course changent les paramètres de consommation qui deviennent prépondérant dans la performance. Le gain dans la gestion de l’essence implique tout le monde, des ingénieurs aux pilotes. On ne peut pas changer le moteur et nous n’avons plus de SREC. Nous avons investi dans des matériaux et des processus pour réduire les coûts, optimiser l’essence et la lubrification pour permettre à la F10 de gagner. La fiabilité reste le premier objectif. Nous avons travaillé pour l’optimiser sur banc, très proche des conditions de course. »

Nicholas Tombazis, designer en chef : « Le diffuseur est fondamental. Pour optimiser la performance, nous avons revu le train arrière et déplacé les différents composants pour l’intégrer au mieux. Sur la F10, il est beaucoup plus gros et plus performant par rapport aux précédentes saisons. »

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Berger : "Ferrari n’est plus aussi fort"

Ancien pilote Ferrari et copropriétaire de la Scuderia Toro Rosso, Gerhard Gerber a déclaré que l’écurie Ferrari n’était plus aussi forte que par le passé. Le départ de nombreux cadres a affaibli les Rouges.
« Même avec Alonso, l’équipe dans son ensemble n’est plus aussi forte qu’à l’époque de Michael Schumacher », a lancé l’Autrichien au journal suisse Blick. « Ils n’ont plus Jean Todt, Ross Brawn ou Rory Byrne qui fut trop souvent sous-estimé. Sans les bonnes personnes, on est souvent perdu. »

Durant l’hiver, beaucoup se sont posés des questions sur la réelle capacité de la Scuderia à reformer une équipe dominatrice. La fuite des cerveaux, entamé il y a plusieurs saisons, aurait affaibli Maranello.

Quant à la presse italienne, elle redoute déjà une crise. La Ferrari F10 ne présenterait pas les performances attendues selon les premières estimations… Et une « F10B » serait déjà à l’étude.

Mais non... Mais non...

Dis donc, essaye pas de remplir le topic pour faire que Ferrari soit en tête des écuries préférées

Plus sérieusement, si une F10 B est déjà à l'étude, bravo Ferrari

Je suis d'accord avec Berger, pour le moment, Ferrari n'est plus ce que c'était. Le quatuor Todt-Brawn-Byrne-Schumacher avait une réelle importance. Les trois derniers se complétaient à merveille pour sortir la voiture idéale, 7 titres pour eux, et Todt menait très bien la barque. Il est arrivé dans une passe difficile et à force de temps et d'efforts, il a su faire de Ferrari une puissance quasi-invincible. Il y a eu pas mal de changements industriels et logistiques avec Todt qui ont mené Ferrari à son rang.

Depuis leur départ, Byrne en 2004, Schumacher et Brawn en 2006, Todt en 2007, Ferrari a eu du mal à maintenir son rang. Il y a tout de même eu les excellentes saisons 2007 et 2008, dans une certaine continuité, mais le premier véritable défi à relever, 2009, a sonné comme un fiasco. Entre une voiture finalement pratiquement jamais prête, des choix stratégiques douteux, un Raikkonen pas vraiment dans son assiette jusqu'à la mi-saison, on avait rarement vu Ferrari aussi bas depuis des années. La gestion de Domenicali peut être sujette à controverse, il y avait quand même des couacs qu'on n'avait pas l'habitude de voir avec Todt.

On va voir si Ferrari est à même de réagir, mais c'est vrai que la relève ne donne pas complètement l'impression de pouvoir se hisser à la hauteur de la vieille garde. En tout cas, vu le temps passé sur la voiture, suite à l'arrêt de la précédente, elle a intérêt à être dans le coup, sinon on pourra se poser des questions.

Excellente analyse. La dernière phrase résume toute l'intersaison.

Et pour ça :

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Quant à la presse italienne, elle redoute déjà une crise. La Ferrari F10 ne présenterait pas les performances attendues selon les premières estimations… Et une « F10B » serait déjà à l’étude.

Pour moi c'est des fantasmes journalistiques infondés. Attendont au moins les premiers essais.

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Massa dans la F2008, un atout pour Ferrari ?

Alors que les essais sont de plus en plus restreints pour les écuries de F1, Ferrari a placé Felipe Massa dans une F2008 sortie de sa « compétition-client » ce vendredi. La Scuderia va-t-elle en tirer un quelconque bénéfice ?
Avec un châssis datant de 2008 (avant la grande évolution réglementaire de 2009) et des pneumatiques de GP2, Felipe Massa a couvert environ 400 kilomètres sur le circuit de Barcelone.

Et si les données récoltées ne serviront sans doute pas à la Scuderia pour développer le châssis, le moteur installé à l’arrière du pilote n’était pas différent de celui qui équipera la future F1 de 2010.

En raison du gel du développement, il se pourrait même que le bloc soit rigoureusement identique à celui qui propulsera les Ferrari cette saison.

Alors avantage pour les Rouges ? Non, répondent plusieurs ingénieurs d’écuries concurrentes pour quoi la journée d’essais de Felipe Massa n’a rien apporté de plus qu’un passage au banc à l’usine.

Sincèrement, j'en sais rien du tout.

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La Ferrari F10 devra attendre

Alors que la Scuderia Ferrari avait prévu de permettre à Felipe Massa de faire un shakedown avant de partir pour Valencia, l’écurie italienne vient d’annoncer l’annulation de ce premier roulage.

Les conditions de piste à Fiorano sont toujours aussi mauvaises. La F10 fera donc ses premiers tours de roues à Valencia lundi durant les essais officiels F1.

Mince...

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Hulkenberg chez Ferrari dans 3 ans

Alors qu’il n’a pas encore vu à l’œuvre son nouveau poulain dans un peloton de F1, Willi Weber est persuadé que Nico Hülkenberg sera pilote Ferrari dans trois ans !
Champion GP2 en titre et nouveau pilote Williams F1, Nico Hülkenberg sera chez Ferrari dans trois ans selon son illustre manager Willi Weber.

Il y a quelques jours, Nico Hülkenberg a révélé que son manager Willi Weber l’avait proposé à la Scuderia Ferrari pour remplacer Felipe Massa après l’accident du Brésilien lors du Rallye de Hongrie. Si l’accord n’a pas été conclu, le manager voit son nouveau pilote « chez Ferrari dans trois ans »…

Willi Weber est également manager de Michael Schumacher et Timo Scheider.

On verra bien d'ici là. Et pour l'accord non conclu, c'est parce que Nico préférait être titré en GP2 plutôt que de précipiter son arrivée en F1.

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Ferrari investit sur l’avenir

En marge de la présentation de la nouvelle Ferrari F10, la Scuderia a lancé son nouveau programme Ferrari Drivers Academy. Le Français Jules Bianchi en profitera dès 2010 !
« Pour la première fois, Ferrari se concentre sur la recherche de nouveaux talents », a expliqué Luca Baldisserri. « Le programme, qui débute cette année, regroupe de nombreuses activités, de l’entraînement à du pilotage pour permettre à de jeunes pilotes d’accéder à la F1 avec Ferrari. Pour le moment, nous visons douze pilotes et une nouvelle sélection va suivre. »

Ces pilotes auront tous les âges : « Nous débuterons en karting puis nous serons présents dans d’autres formules comme Abarth, F3, GP3 mais aussi F2, GP2 et World Series.

Ferrari se reposera sur quelques consultants prestigieux pour accompagner sa Drivers Academy : « Andrea Bertolini, Minardi vont nous aider. Je crois vraiment en ce projet car la motivation des pilotes est fondamentale en début de carrière. Nos pilotes n’apprendront pas seulement à piloter mais aussi parler aux sponsors, à la presse et s’exprimer en plusieurs langues. Nous réunirons les pilotes à cinq reprises à Fiorano, au Mugello, à Vallelunga, lors d’un évènement de fin d'année et lors d’une évaluation finale. »

Ferrari annonce que ce programme est conçu pour vivre cinq à six ans. Chaque pilote bénéficiera d’un contrat d’un an reconductible.

Et les noms ? Luca Baldisserri n’en a lâché qu’un seul… et nous le connaissions déjà : le Français Jules Bianchi qui sera aligné en GP2 Series en 2010. « Nous suivons également d’autres pilotes, et pas seulement en Italie », ajoute l’Italien.

Enfin !

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Felipe Massa « maintenant à 100% »

Entouré de sa garde rapprochée, son frère, son préparateur physique et ses fidèles journalistes brésiliens, Massa n’aurait raté pour rien au monde la semaine blanche, ou plutôt rouge, à Madonna di Campiglio, chère à la tradition du commanditaire “fantôme” de Ferrari.

Revenons à votre accident. Avez-vous pensé être contraint de renoncer à la compétition ?

« Non, jamais. Au contraire, j’étais sûr, dès la sortie de mon coma artificiel, que je ne raterai pas une course, que je serai à Valencia, que personne ne prendrait ma voiture ! Je ne comprenais pas pourquoi les médecins, ma femme, mes parents et mon frère me répétaient sans cesse que je devais arrêter de courir quelque temps. Pour moi ce n’était ni possible ni envisageable. Ma vision de l’œil gauche était nulle mais avec les trois semaines qui nous séparaient de Valencia, c’était jouable pour moi. Bon, il a fallu que je me rende à l’évidence et que je capitule devant l’avis des médecins. D’un autre côté, j’ai entamé une préparation et une “réparation” physiques accélérées et intenses dans le but de griller les étapes qu’ils m’imposaient. Pour moi, c’était moralement important de m’impliquer à fond dans ce travail physique en mental. »

Cet accident a-t-il changé quelque chose dans votre vie ?

« Non, strictement rien. Ni dans la vie ni dans mon approche professionnelle. Il m’a donné une certaine expérience, une force et un brin de fatalisme que je n’avais peut-être pas avant. Côté motivation, c’est encore mieux. Je voulais reprendre la course avec un oeil en moins, alors imagine avec les deux ! Dès mon premier roulage avec la F2007 à Fiorano (12octobre 2009. Ndlr), l’écurie a compris que j’étais redevenu le “bâtard” d’avant. J’ai juste besoin d’une voiture au niveau. J’ai eu des accidents qui m’ont perturbé beaucoup plus que celui-là. Quand je me suis retrouvé sans freins à Monaco en 2002… un gros choc. À Barcelone, j’ai cassé deux fois une suspension. Celui de Budapest, je ne l’ai pas vu venir ! Ni le ressort ni le choc dans les pneus. »

Vous avez dû apprécier la réaction de Ferrari qui n’a jamais imaginé un remplacement définitif…

« Après ce genre de pépin, c’est sûr qu’au fil des jours, on pense au pire. Que l’équipe va chercher à te remplacer, que les pilotes doivent faire la queue… La position de Ferrari a été un énorme soutien pour moi. »

Votre intérim, assuré par Badoer et Fisichella, n’a pas été brillant. Pour quelles raisons ? Et Schumacher aurait-il pu mieux faire ?

« La F60 n’était pas une machine facile à comprendre, à piloter et à régler. L’histoire du diffuseur, le Srec… tout s’en est mêlé. Même quand je la pilotais. Ils ont dû l’apprendre et s’adapter. Ce n’est pas en quelques courses que l’on y arrive. Giancarlo se plaignait du freinage pendant que le Srec se rechargeait. Moi ça ne me gênait, je m’y étais habitué. Je suis sûr que Michael aurait connu les mêmes problèmes. En plus, le fait que l’équipe ait cessé tout développement, alors que les autres poursuivaient le leur, n’a pas aidé. »

J'aimerais bien les autres noms

Je pense que yaura Bortolotti et pourquoi pas Zampieri

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Massa roulera avant Alonso

Felipe Massa étrennera la nouvelle Ferrari F10 sur le circuit Ricardo-Tormo de Valencia lundi et mardi, alors que Fernando Alonso en prendra le volant mercredi.
Ferrari a préféré le choix de la logique et de la continuité. Felipe Massa, pilote Ferrari depuis 2006, connaisseur de la F60 qui a roulé en 2009, pourra constater les progrès et les évolutions de la nouvelle voiture de Maranello. Le Brésilien pourra ainsi fournir un retour des plus précis aux ingénieurs de la firme au Cheval Cabré.

Ferrari a donc choisi d’envoyer Felipe Massa en piste lundi et mardi, sur le circuit Ricardo-Tormo de Valencia, pour le début des essais privés de pré-saison de Formule 1. Fernando Alonso prendra sa suite, mercredi, afin de boucler la première session d’essais hivernaux. Ferrari aura ensuite rendez-vous à Jerez, le 10 février.

Initialement, Felipe Massa devait faire débuter la F10 jeudi dernier pour la réalisation d'un sport commercial, avant de ne prendre le volant lors des essais officiels seulement lundi.

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Felipe Massa affole le chronomètre

A 13 heures, Felipe Massa avait déjà couvert 56 tours. En seulement onze heures d’essais, la Ferrari F10 a déjà avalé plus de 630 kilomètres. Et comme hier, Felipe Massa était le plus rapide en début d’après-midi en 1’11’’722.
Le Brésilien est encore loin du record de la piste (1’08’’540) réalisé par Anthony Davidson lors d’essais en 2006, avec une monoplace totalement différente.

« Les sensations sont très bonnes avec cette voiture », a lâché Massa en s’accordant une petite pause à mi-journée.

Fernando Alonso était dans le garage cet après-midi pour suivre la progression de son nouvel équipier. L’Espagnol prendra le volant de la F10 demain.

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Les pilotes Ferrari Drivers Academy

Les noms des douze pilotes de la Ferrari Drivers Academy. En plus de Jules Bianchi, déjà annoncé, viennent s’ajouter les Italiens Alberto Cerqui, Edoardo Liberati et Luca Defendi, le Colombien Gabriel Chaves et le Norvégien Pal Varhaug en monoplace.

Sept pilotes de karting composent également cette première promotion : le Français Brandon Maisano, les Italiens Gianmarco Ercoli, Matteo Viganò, Raffaele Marciello et Federico Savona, l’Espagnol Gerard Barrabeig et le Finlandais Aaro Vaini.

Varhaug, ça te dit quelque chose Thomas ?

Chaves est bon aussi
J'ai du voir rouler quelques autres, peut être bien Defendi, mais je suis plus tout à fait sûr :/

Edit : je le savais, je l'ai vu ! Il a gagné à Misano lorsque j'ai vu les meetings italiens Il m'avait bluffé, d'autant qu'en me renseignant j'ai appris qu'il était plus jeune que moi (ça fait bizarre, j'ai pas l'habitude). Ah la vieillesse

Cerqui je l'ai vu aussi, mais il était pas au top.

D'ailleurs juste une parenthèse sur la vieillesse, Carlos Sainz Jr. le fils de Carlos Sainz est désormais dans le giron Red Bull, il est né en 1994.

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Fernando Alonso déjà devant

Ce matin, Fernando Alonso a parcouru ses premiers kilomètres au volant de la Ferrari F10. Et dès ce matin, l’Espagnol s’est montré plus rapide que son nouvel équipier Felipe Massa. Ferrari est en forme.
30 000 spectateurs n’attendaient que ça ce matin… Fernando Alonso a roulé avec la nouvelle Ferrari sur le circuit de Valencia en Espagne.

Le programme technique est plus ou moins identique à celui imposé à Felipe Massa depuis deux jours. Alonso travaille sur un réglage de base avant de chercher d’autres solutions. Selon les runs, l’Espagnol travaille sur le comportement des pneumatiques Bridgestone et le comportement de la monoplace selon le volume d’essence embarquée.

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La Scuderia Ferrari reste au top !

Après Felipe Massa lors des deux premières journées, c’est son nouvel équipier Fernando Alonso qui termine la première séance d’essais de l’année 2010 au premier rang. Le pilote Ferrari a bouclé son meilleur tour en 1’11’’470 à Valencia.
Le double Champion du Monde n’a pas mis longtemps pour comprendre le fonctionnement de la F10. En quelques tours, l’Espagnol se rapprochait de la meilleure performance de Felipe Massa avant d’abaisser le chrono de référence à la mi-journée.

Il faut dire que les débuts de Fernando Alonso étaient attendus. Quatre kilomètres d’embouteillage pour arriver au circuit, plus de 35 000 personnes venues sur le circuit de Valencia pour le voir en rouge… et en action.

Derrière Ferrari, Sauber continue de montrer un certain potentiel, de quoi soulever de nombreuses interrogations. Comme lundi et mardi, la C29 (cette fois pilotée par Pedro de la Rosa) est la deuxième monoplace la plus performante, et ce, malgré un accrochage avec le Williams de Nico Hülkenberg.

Pour sa première journée complète, Michael Schumacher place la Mercedes MGP W01 en troisième position. La marque allemande a perdu un peu de temps de roulage à cause d’un souci hydraulique.

Derrière Jaime Alguersuari (Toro Rosso), Jenson Button (McLaren) a passé beaucoup de temps à travailler sur sa position dans le baquet de la MP4-25. Au terme de 82 tours (contre 127 à Alonso), le Champion du Monde termine la journée à près de 1’’5. Vitaly Petrov (Renault) et Nico Hülkenberg (Williams) terminent ce classement.

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Domenicali : "Rien n’est encore acquis"

Même si Felipe Massa et Fernando Alonso ont monopolisé la première place lors des trois journées d’essais privés de Valence, le directeur général de Ferrari, Stefano Domenicali, ne s’emporte pas et préfère rester prudent.

En effet, même si les pilotes de la marque au cheval cabré sont les seuls à être passés sous la barre de 1:12.000 sur un tour, personne ne connait avec certitude quels étaient les programmes des autres équipes et notamment les quantités d’essence embarquées.

"Il n’y a pas de miracle en Formule 1. Si vous voulez être rapide, vous devez travailler dur pendant des mois puis vous rencontrez vos adversaires, lesquels ont autant de capacités et sont aussi motivés que vous," a déclaré l’Italien.

"Nous ne pouvons rien prendre pour acquis et nous ne devrions pas nous faire d’illusions avec des informations qui pourraient être totalement trompeuses. Nous ne pouvons travailler comme au football où deux bons ou deux mauvais résultats suffisent pour passer de la richesse à la misère, et vice versa."

"Nous savons parfaitement que les chronos des essais, en particulier cette année, doivent être manipulés avec précaution. Selon une expression italienne du football, nous sommes encore ’au moins d’août du football’," ajoute-t-il.

"Nous ne pouvons pas oublier où nous nous situions en termes de performances lors du dernier Grand Prix l’année dernière. Il reste encore beaucoup de travail à faire pour réduire l’écart et il y a toujours quelques problèmes à résoudre."

"Par ailleurs, nous ne connaissons pas les quantités de carburant que les autres voitures embarquaient, donc il est impossible d’avoir une idée précise des forces en présence sur la piste. Peut-être aussi que certains ont envie de jouer à cache-cache et d’autres doivent encore présenter leurs voiture."

On l’a donc compris, l’absence d’indications concernant le programme d’essai de chaque équipe empêche d’interpréter les temps réalisés. Ce que l’on peut toutefois remarquer, c’est qu’avec 353 tours couverts, la nouvelle F10 de Ferrari semble avoir un bon niveau de fiabilité.

"S’il y a une chose pour laquelle nous sommes satisfaits, c’est de la fiabilité dont la voiture a fait preuve. Plus de 1400 kilomètres parcourus est un très bon début et nous devons nous assurer que tout le travail réalisé au banc d’essai et en simulation lors des semaines précédant les débuts en piste va porter ses fruits."

"À Valence, nous avons aussi commencé à apprendre à connaître le comportement des nouveaux pneumatiques Bridgestone. Mais les données sont encore très relatives. Cette piste n’est pas particulièrement exigeante pour les pneus et les températures n’étaient pas celles que nous rencontrerons sur les trois premières courses de la saison," explique Domenicali.

Le directeur général de l’écurie de Maranello se réjouit également du travail de Massa et Alonso, qui se sont montrés très motivés et très précis dans leur retour d’informations.

"Ils sont tous les deux très contents de la façon dont se sont déroulées les choses, en particulier en ce qui concerne la fiabilité de la voiture. Ils sont tous les deux extrêmement motivés et ont très envie de piloter."

"Cela aurait été frustrant si nous n’avions pas démarré sur la bonne voie ici. Felipe et Fernando savent tous les deux que nous devons beaucoup travaillé et ils m’ont déjà donné plusieurs indications pour améliorer la voiture," conclut-il.

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Ferrari veut battre Schumacher

Lors des essais de Valencia, la Scuderia Ferrari s’est montrée dominatrice par rapport à ses rivales, et notamment la Mercedes de l’ancien Baron Rouge, Michael Schumacher. Pour Stefano Domenicali, Fernando Alonso a les armes pour battre le septuple champion du monde.

Stefano Domenicali, êtes-vous satisfait de cette nouvelle Ferrari ?

Nous avons une idée de son potentiel, mais nous n’aurons sans doute pas une idée précise de ses capacités sur piste avant les derniers essais de février, à Barcelone, où elle disposera de ses ultimes développements pour les courses d’ouverture de la saison. Ce sera le vrai verdict pour tout le monde.

Vaincre des courses, éventuellement reprendre le titre mondial F1 2010, aura-t-il plus d’importance désormais qu’un adversaire s’appelle Schumacher, au sein de l’équipe championne du monde 2009 ?

Globalement, je crois que les amateurs de F1 apprécient le choix de Michael. L’histoire ne peut pas non plus oublier ce qu’il a apporté à Ferrari et ce que Ferrari lui a permis d’obtenir. On doit tourner cette page. C’est une stimulation en plus, c’est vrai, pour démontrer à Michael qu’elle est l’équipe la plus forte !

Que vous inspire le fait de voir son casque rouge dans une autre monoplace ?

S’il a fait ce choix, c’est qu’il est convaincu d’en obtenir quelque chose de positif pour lui et de réussir son pari. Donc, je le respecte. Je suis néanmoins persuadé qu’Alonso disposera de toutes les armes pour le battre. Sans oublier que le meilleur cavalier n’est rien sans le meilleur cheval ! À nous de le lui donner. Le casque rouge de Michael ? Cela prouve qu’il est difficile de quitter une famille pour une autre, il en reste toujours quelque chose…

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Massa ne peut pas promettre de finir avec Ferrari

Felipe Massa n’a pas souhaité garantir qu’il terminera sa carrière en Formule 1 avec Ferrari, alors que son équipier Fernando Alonso a affirmé qu’il ne changera plus jamais d’équipe.

Fernando Alonso a signé un contrat de trois ans avec Ferrari, avec deux années supplémentaires en option. Et il a récemment déclaré que la probabilité qu’il termine sa carrière avec l’équipe de Maranello était de "100 pour cent".

Mais son équipier Felipe Massa, qui a le même âge que lui, a refusé de faire la même promesse lors d’une interview accordée au journal italien Corriere dello Sport : "J’ai 28 ans. Comment puis-je le promettre ?"

"Alonso a raison quand il dit que quitter Ferrari pour aller à un endroit meilleur est peu probable si pas impossible. Je me sens comme chez moi ici [chez Ferrari], mais je veux aussi courir pendant de nombreuses années."

Felipe Massa aborde sa cinquième saison chez Ferrari et son contrat se termine à la fin de l’année : "Nous avons mentionné une prolongation."

Il dément également que son principal adversaire pour 2011 soit le multiple champion du monde de MotoGP, Valentino Rossi, qui a récemment testé une Ferrari.

"Bien sûr que non. Valentino a testé à 90 pour cent pour le fun, et à 10 pour cent pour voir s’il pouvait avoir un futur en monoplace. Mais, à son âge [30 ans], ce n’est pas si facile de commencer à se forger l’expérience nécessaire."

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Jerez : Alonso avant Massa

Fernando Alonso pilotera la Ferrari F10 à Jerez avant Felipe Massa, lors de la prochaine séance d’essais de pré-saison de F1. Le pilote espagnol, pilote le plus rapide à Valencia, prendra le volant de la F10 lors des deux premiers des quatre jours d’essais (10-11 février), avant de passer le relais à Felipe Massa.

Citation :

Ferrari : la solution miracle ?

Ferrari, qui a réalisé des essais convaincants à Valencia, notamment en terme de fiabilité, a choisi une solution innovante au niveau de son bloc moteur, afin de gagner en efficacité aérodynamique.
Ferrari, lors des tests de Valencia, a su se placer en tête des essais chronométrés, se rassurant sur la conception de la F10, monoplace dont le développement a débuté au printemps 2009. « Travail qui s’est amplifié pendant l’été, lorsque nous avons pris la délicate décision stratégique de stopper le développement de la F60 et de mettre tout notre potentiel sur ce nouveau projet », affirmait Aldo Costa, directeur de la Scuderia, dans les colonnes d’AUTOhebdo. Les chiffres de Valencia sont toutefois à prendre avec des pincettes, en raison de la difficile comparaison qui peut être faite avec les temps réalisés par les voitures des autres écuries.

Ferrari a opté pour un avant de coque relevé, façon RB5, afin de mieux répartir l’écoulement de l’air sous le plancher et de mieux le canaliser vers le diffuseur arrière. Celui-ci a d’ailleurs mobilisé les équipes de la Scuderia, qui ont pensé la F10 en fonction de sa position. « Le diffuseur est fondamental, déclarait Nicholas Tombazis, designer en chef de la F10. Pour optimiser la performance, nous avons revu le train arrière et déplacé les différents composants pour l’intégrer au mieux. Sur la F10, il est beaucoup plus gros et plus performant par rapport aux précédentes saisons. »

En outre, le moteur a été incliné sous la carrosserie, comme le révèle la Gazzetta dello Sport. Le V8 Ferrari est ainsi penché vers l’avant de la monoplace, son inclinaison étant portée à 3,5° entre l’avant et l’arrière du bloc, une solution adoptée par Arrows en 1979. Cette inclinaison permet un gain aérodynamique certain, en relevant l’arrière du bloc moteur et en permettant d'augmenter notamment la longueur du canal alimentant le diffuseur arrière. « La nouvelle Ferrari propose une solution mécanique très intéressante et la plupart des secrets sont cachés sous la carrosserie », confie Aldo Costa, qui espère avoir trouvé dans cette option un moyen de grappiller quelques dixièmes au tour. Ferrari aura l’occasion de vérifier l’efficacité de sa solution lors des prochains essais, à Jerez, qui débutent mercredi.

Espérons.

Citation :

Ferrari : "Beaucoup de tours malgré la pluie"

Pour la première fois depuis le début des essais hivernaux, une Ferrari n’a pas fini en haut de la feuille de temps. Mais Fernando Alonso a fait preuve d’un excellent rythme lorsque la pluie s’est abattue sur le tracé de Jerez de la Frontera en Espagne.

Fernando Alonso :
"Le travail a été influencé par le mauvais temps, mais néanmoins nous avons réussi à couvrir beaucoup de kilomètres et faire presque 90 tours. Nous sommes donc satisfaits, parce que nous avons pu recueillir beaucoup de données, ce qui est important pour la fiabilité."

"Nous espérons que le temps sera meilleur demain, car il est important de conduire sur piste sèche. La voiture s’est très bien conduite sur la piste humide et elle était facile à piloter. Le feeling est bon, comme sur le sec. En tout cas, j’ai eu des sensations positives aujourd’hui."